Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
RETRO VELO DORDOGNE
13 juillet 2021

14 JUILLET 1954 : JACQUES VIVIER BEAU VAINQUEUR A VANNES

LE JOUR OÙ JACQUES VIVIER TRIOMPHE
UNE DEUXIEME FOIS AU TOUR DE FRANCE

 - Tour de France 54, équipe Sud Ouest : Philippe Agut, Louis Bergaud, Louis Caput, Joseph Cigano, Marcel Dussault, Marcel Guitard, Valentin Huot, René Privat, René Remangeon, Jacques Vivier. Remplaçants : Tino Sabbadini et Louis Kosec (Directeur Sportif : Paul Maye)
- Blessé dans une chute après le départ de la deuxième étape à Anvers, le Parisien Louis Caput rentre chez lui et confie le capitanat de l’équipe à Jacques Vivier.
- Le 14 juillet 1954 la 7° étape Brest-Vannes est gagnée par Jacques Vivier devant François Mahé et Pascale Forlini (reportage ci-dessous)
- Voir les engagés du Tour en 1954.
- Lire le palmarès de Vivier en 1954 (article précédent).

victoire à vannes

Dans un ultime effort, Vivier bat Mahé à Vannes

 - Il pleut sans discontinuer sur Brest et la campagne bretonne noyée dans la brume. Les rescapés du Tour enfilent leur imperméable pour aller sans enthousiasme au départ. Deux hommes manquent à l’appel : l’Espagnol Dalmacio Langarica blessé au coude lors de sa chute de la veille à Landernau et le Breton André Ruffet, souffrant d’une sciatique. Le forfait de ce dernier réduit à six unités l’équipe de l’Ouest.
- Quatre-vingt-quatorze coureurs démarrent sur une route rendue glissante. Il est 11h00. Malgré la pluie, c’est un départ à 50 à l’heure. A croire que les concurrents du Tour mangent du cheval depuis le départ. Le tir de harcèlements des Suisses ne connaît pas de trêve, même en ce jour du 14 juillet. Emilio Croci-Torti est le premier artificier de la journée.
- Il s’en va au 15ème kilomètre, avec Francis Siguenza, puis Emile Guérinel. Ces trois hommes traversent Daoulas (km 17) avec 250 mètres d’avance sur le peloton. Mais Francis Siguenza jugeant cette échappée prématurée, se relève et laisse filer Croci-Torti et le Breton Guérinel. Jean Forestier et Jean Schmitt (Lux.) tentent de s’évader du peloton, couvert de nylon. Hugo Koblet et Ferdi Kubler les invitent à se tenir
tranquille.

Les deux fuyards ont quatre minutes d’avance

- En tête, Croci-Torti fidèle lieutenant de Koblet assure sa part de travail et avec Guérinel, il roule sec... si l’on peut dire, puisqu’il pleut à torrents. D’une minute au 34ème km, l’écart monte à quatre minutes à Châteaulin (40ème km), ville natale du regretté Camille Danguillaume. Du peloton, Apo Lazaridès, François Mahé et Jacques Vivier ne tardent pas à se sauver. Tous trois livrent une chasse ardente aux deux leaders. Au passage à Quimper (77ème km), devant les rives de l’Odet, Croci-Torti et Guérinel possèdent trois minutes d’avance sur Vivier, Mahé et Lazaridès et 3’50s sur le peloton. Meunier qui venait de crever, était à quatre minutes.

Abandon de Roger Hassenforder

- Quatre kilomètres après Quimper, Roger Hassenforder s’arrête et déclare abandonner. "Je ne suis pas en condition physique suffisante, dit-il. Plus jamais je ne recourrai le Tour. Je préfère les épreuves classiques". Ce coup de tête de l’Alsacien n’étonnera pas Antonin Magne. En effet, avant le départ du Tour. Tonin le sage nous avait affirmé : "Hassen n’ira pas loin, car il n’est pas en forme. S’il m’écoutait, il ne partirait pas". En tête, Croci-Torti et Guérinel sont rejoints par Vivier, Mahé et Lazaridès.
- Au 95ème km ces cinq hommes traversent Concarneau (100ème km) où l’air sent la sardine, trente secondes avant Alomar, Schaer, et 45 secondes sur un peloton tiré par Bobet. Puis à 1’15s vient un groupe conduit par Van Breenen.

Vivier et Mahé seuls en tête

- Alomar et Schaer s’ajoutent aux cinq leaders peu après Concarneau. Schaer était en tête, l’équipe de France se relaie au commandement du peloton et au 108 ème km, les fuyards sont absorbés, sauf Vivier et Mahé qui, voyant rappliquer le gros de la troupe, repartent de plus belle avec 500 mètres d’avance.
- L’homme du Sud-Ouest et celui de l’Ouest roulent à belle allure et s’accordent fort bien pour se partager le travail.

Ils sont rejoints par Dominique Forlini

- Avant Quimperlé, Dominique Forlini, stimulé par sa victoire de la veille, démarre en trombe suivi de Guérinel qu’il lâchera d’ailleurs dans une côte. A Quimperlé, Vivier et Mahé précédant d’une minute Forlini et de 5’20s le peloton. La longue côté située à la sortie de cette ville permet à Forlini d’apporter une aide substantielle à Vivier et à Mahé. Derrière, Guérinel est rejoint par Desmet et Botella. Toujours dans cette côte, Fritz Schaer secoue le peloton duquel il s’extirpe en compagnie de Geminiani qui, bien entendu, refuse de relayer le Suisse et Gilbert Bauvin, qui vise lui le maillot vert perdu à Brest.
- Le peloton se disloque. Schaer très puissant, revient sur Guérinel, Desmet et Botella. Ces deux derniers ne veulent pas mener. Enfin, ils se décident à aider Schaer. Mais les français appuient plus fort sur les pédales et le groupe Schaer est absorbé au 138 ème km.

5 minutes 45 secondes d’avance à Hennebont

- Sous la pluie faisant rage, Forlini, Vivier et Mahé roulent vite. Forlini, littéralement déchaîné, assure les relais les plus rapides. Le peloton, se désintéresse de cette fugue, le trio des leaders augmente sérieusement son avantage. A Hennebont (162 ème km), il est de l’ordre de 5’40s. Il reste 40 km à parcourir. Allons-nous assister à une deuxième victoire d’étape de Forlini ? Ce n’est pas impossible. Poussés par un vent favorable, Vivier, Forlini et Mahé qui à Lorient a empoché une prime de 50 000 francs, foncent vers Vannes avec une avance de huit minutes sur l’horaire. Un groupe fort d’une vingtaine de coureurs est pointé à neuf minutes des francs-tireurs de la course.

9 minutes d’avance à Auray

- Forlini continue le forcing, bien épaulé par Jacques Vivier et François Mahé. L’écart grandit encore et à Auray (190ème km), soit à 21 kms du vélodrome de Vannes, le trio des leaders passe neuf minutes avant le peloton. A cet endroit Forlini devient 4ème du classement général, à cinq minutes de Bobet et second français du Tour. En dépit de la pluie, il y a une foule énorme sur le bord des routes. On aime le cyclisme en pays breton. Les derniers kilomètres n’apportent aucun changement pour les trois leaders. Mahé pénètre le premier sur la piste de Vannes, suivi de Vivier et de Forlini. Vivier attaque dans la ligne opposée mais Mahé répond du tac au tac, tandis que Forlini semble se désintéresser du sprint. Vivier et Mahé abordent ensemble la dernière ligne droite et finalement Vivier l’emporte offrant après Dussault une deuxième victoire d’étape à l’équipe du Sud Ouest. La moyenne horaire, 39,200 kms pour les 211 kms est magnifique, surtout, si l’on tient compte du fait que l’étape s’est entièrement déroulée sous la pluie et sur des routes glissantes. Le peloton survient 8’30s plus tard et c’est Kubler qui remporte le sprint, conservant ainsi son maillot vert. Bobet garde le jaune, mais Forlini remonte à la cinquième place.

Hassenforder a souhaité bon voyage au Tour

- Roger Hassenforder, monté dans le camion balai, s’est enveloppé d’une couverture et d’un imperméable. "J’étais malade depuis le matin affirmait-il. Je n’ai pas pu manger, mon estomac est détraqué. Le Tour ce n’est pas un boulot pour moi". Le docteur Berti alerté, ne croit pas un mot des affirmations du Champion de France de poursuite. "Il a abandonné sur un coup de tête dit le toubib en reprenant place dans sa 4 CV. Hassen n’est pas plus malade que vous et moi". L’abandon du maillot jaune du Tour 1953 est diversement commenté dans la caravane. Les journalistes ont perdu avec Hassenforder, une mine d’échos.
 Classement de l’étape : 1. Jacques Vivier (Sud-Ouest) les 211 km en 5h24'22", 2. François Mahé (Ouest), 3. Dominique Forlini (Ile de France) tous même temps, 4. Ferdi Kubler (Suisse) à 8'28", 5. Stan Ockers (Belgique), 6. Fritz Schaer (Suisse), 7. Wim Van Est (Hollande), 8. Alfons Vandenbrande (Belgique), 9. Louison Bobet (France), 10. André Darrigade (France).

vannes bis

Victoire à Vannes, en Pays Breton

LA BRETAGNE FAVORABLE... AU SUD-OUEST
BREST-VANNES A FAIT REVIVRE LE MEILLEUR VIVIER
DE LA   ROUTE DE FRANCE ET DE PARIS COTE D’AZUR
(par Gaston Bénac sur la route du Tour)

- La Bretagne n’aura pas été favorable aux Bretons. Aucun d’eux n’a réussi à triompher dans son fief. Pourtant François Mahé, croyait bien vaincre sur la piste de Vannes. Il n’avait pas ménagé ses efforts et il était encore en tête à une centaine de mètres de la ligne d’arrivée, mais Jacques Vivier, dans un dernier "rush" vint lui arracher la victoire.
- Si la foule bretonne montra sa déception en accueillant par des bordées de sifflets le tour d’honneur du Ribéracois, celui-ci n’avait pourtant pas volé son succès.
- Jacques Vivier qui, sous la pluie, m’a semblé avoir retrouvé ses moyens, fut constamment à la pointe du combat et fut à l’origine de l’échappée décisive. Alors que l’on pouvait commencer à désespérer de lui, Vivier a montré qu’il fallait encore le considérer comme un de nos meilleurs routiers de courses par étapes.

1954 tdf

- Je crois qu’il trouve dans ce genre d’épreuves le climat le plus favorable pour étaler sa classe qu’il nous révéla dans la "Route de France", "Paris-Côte d’Azur" et en remportant une étape lors de ses débuts dans le Tour, il y a deux ans.
- J’avais déjà remarqué son aisance lorsqu’il contre attaqua en compagnie de Schaer et de l’espagnol Alomar, derrière l’échappée de Crocci-Torti et Guérinel, qui avaient lancé la course sous un ciel pluvieux. Très en verve, il repiqua une crise après le regroupement du 100ème km, profitant de ce que les "Grands" reprenaient leur souffle. Il trouva en François Mahé un homme aussi décidé que lui à tenter sa chance. Si bien qu’en une trentaine de kilomètres, ce tandem avait réussi à prendre plus de cinq minutes au peloton. C’est à ce moment que se place l’exploit du jour réalisé par l’étonnant Forlini. Ce "routier repenti" si j’ose dire, - car après quelques belles performances sur la route, il rechercha des succès plus facile sur la piste - n’est pas seulement un excellent sprinter, mais aussi un très beau routier. Sortant du peloton en boulet de canon, le vainqueur de la veille, merveilleux de puissance se lança à la poursuite des fuyards et comblait l’écart de plusieurs minutes. Après cette magistrale poursuite et aussi après avoir joué un grand rôle dans le succès de la fugue, personne ne s’étonnera qu’il ait été battu au sprint par Vivier et François Mahé. Mais ses efforts n’auront quand même pas été vains. Dans sa chevauchée, Forlini a conquis de précieuses minutes qui lui ont fait faire un bond prodigieux au classement général, où il se trouve désormais dans le sillage de Kubler, à la cinquième place, à moins de sept minutes de Louison Bobet.
- A l’heure où l’on enregistre l’abandon d’Hassenforder, qui pour avoir pris le Tour trop à la légère, a capitulé sans gloire, Dominique Forlini ne se révèle-t-il pas comme pouvant être le successeur éventuel du trop fantaisiste Alsacien, dans le rôle de trouble-fête ? Forlini athlète lourd, n’est pas un grimpeur. Il serait donc nullement surprenant qu’il tente d’exploiter la position qu’il a acquise sur les routes bretonnes, en se lançant avant les Pyrénées, à la conquête du maillot jaune. Mais alors il lui faudra tromper la surveillance dont il fera maintenant l’objet de la part des "grands". Entre Brest et Vannes, l’équipe de France et Louison Bobet en tête est restée maîtresse de la situation. Certes les tricolores ne furent pas soumis au même "bombardement" que la veille, mais j’ai pu remarquer une bien meilleure cohésion des troupiers de Marcel Bidot.
- Si Koblet et Kubler, éprouvant sans doute le besoin de récupérer, restèrent sur la réserve, Fritz Schaer, par contre harcela encore Bobet. Une première fois selon la tactique favorite des Suisses, avec Croci-Torti pour lièvre, une seconde fois en compagnie du petit leader belge Desmet, désireux, comme Fritz, de surprendre Bobet. Mais chaque fois, les réactions des "tricolores" ne lui laissèrent aucune chance de réussir dans son audacieuse entreprise.
- L’équipe de France imposant le respect à ses grands adversaires, la trêve des "grands" que nous avons connue hier va-t-elle se poursuivre ? On peut s’y attendre.

AVEC CEUX DU SUD-OUEST
Le Sud-Ouest de distingue
VIVIER VAINQUEUR A VANNES. ET D’UN !
L’équipe du Sud-Ouest emporte le classement de l’étape. Et de deux !
(par Louis Gauthier notre envoyé spécial)

- L’équipe du Sud-Ouest a remporté aujourd’hui une deuxième et sensationnelle victoire qui récompense justement un garçon méritant et un directeur sportif avisé Paul Maye. Le sprint gagné par Jacques Vivier au vélodrome de Vannes, met en vedette à la fois une équipe qui a connu depuis le départ bien des difficultés et un coureur qui lui aussi s’est dépensé sans compter.
- Au cours de la randonnée que les trois fuyards accomplirent, Vivier eut l’occasion de déployer ses talents de poursuiteur. Il mena le plus souvent et lorsque Forlini à quelques kilomètres de l’arrivée, eut demandé la permission de ne plus mener, c’est Vivier qui lui donna l’autorisation : "Ne t’en fais pas, lui dit-il, tu n’as qu’à nous suivre." En récompense, Dominique Forlini, indiscutablement le plus rapide, laissa à ses deux compagnons d’échappés le soin de disputer le sprint. Tous les autres coureurs de l’équipe du Sud-Ouest ont fait une remarquable course d’ensemble. Marcel Guitard fut la seule victime de la journée, puisqu’il tomba de son vélo à vingt kilomètres du départ. Huot et Bergaud l’attendirent, et tous trois rejoignirent très rapidement. Le frein de Marcel Guitard était coincé. Quant à Privat et Agut, ils firent partie longtemps du deuxième wagon, celui qui s’était lancé à la poursuite des fuyards. Malheureusement Agut souffre toujours de ses furoncles et a dû faire preuve de beaucoup de courage pour terminer.
- Enfin il resta à signaler la course courageuse de Valentin Huot que son genou a fait terriblement souffrir en raison de la pluie qui n’a jamais cessé de s’abattre sur la course. "Depuis le deuxième jour je souffre horriblement. Depuis les pavés de Lille très exactement".
- Enfin Marcel Dussault a terminé sans forcer lui non plus outre mesure, dans le gros peloton. La victoire du Sud-Ouest à l’étape et au classement par équipes est bien encourageante pour Paul Maye le directeur technique, qui désespérait de connaître un jour la chance. "Et maintenant que les Pyrénées se sont plus loin, j’espère dit-il que nous aurons souvent l’occasion de démontrer nos talents". En disant cela, Paul Maye pense encore à Vivier et à Bergaud, la "puce du Cantal", qui rougit encore de plaisir et de confusion lorsqu’on lui parle du retour sensationnel qu’il permit à Bobet de faire dans l’étape de Brest.

1954 tdf bobet

Vivier vainqueur mais Bobet reste en jaune et habillé par Yvette Horner

COUPS D’ŒIL ET COUPS D’OREIILES

- Il fallait voir Paul Maye sauter sur place au vélodrome de Vannes pour se rendre compte à quel point il avait vécu cette étape, qui lui rapporte le deuxième succès du Sud-Ouest, dans ce Tour de France. "Jacques Vivier était le plus fort, je le savais, mais je craignais un dérapage sur la piste mouillée au cours du sprint"discutait Paul Maye. Une immense joie remplaça son angoisse, lorsque son poulain passa la ligne en devançant François Mahé d’une demi-roue.
Triomphant, Paul Maye jetait : "Je vous avais donné rendez-vous avant le sud-ouest. Vous voyez, j’ai tenu parole et ce n’est pas fini".
- Dix minutes plus tard le peloton arrivait et on constatait la présence de Dussault et Privat, ce qui assurait la victoire pour le challenge par équipe à la formation du Sud-Ouest. "Journée radieuse" s’écriait Maye, oubliant le temps épouvantable qui avait accompagné les coureurs de Brest à Vannes. "Nous encaissons 500 000 francs aujourd’hui et cela vaut bien une douche céleste même prolongée".
- On comprend la joie des équipiers à maillot blanc à bande noire, car non seulement ils sont satisfaits avec deux victoires avant même d’arriver chez eux, mais encore ils ont la joie d’avoir sur cette étape, obligé les terribles bretons à s’incliner devant un gars de la Dordogne.

Les vainqueurs français le jour du 14 juillet
1947 : Pierre Tacca (Pau-Bordeaux), 1949 : Emile Idée (Toulouse-Nîmes), 1953 : Jean Robic (Cauterets-Luchon)1954 : Jacques Vivier (Brest-Vannes), 1961 : Jacques Anquetil (Bergerac-Périgueux), 1968 : Roger Pingeon (Font-Romeu-Albi), 1969 : Roger Delisle (Castelnaudary-Luchon), 1970 : Bernard Thévenet (Saint-Gaudens-La Mongie), 1971 : Bernard Labourdette (Luchon-Gourette), 1975 : Bernard Thévenet (Barcelonnette-Serre Chevalier), 1980 : Mariano Martinez (Le Lautaret-Morsine), 1989 : Vincent Barteau (Montpellier-Marseille), 1995 : Laurent Jalabert (Saint-Etienne-Mende), 1997 : Laurent Brochard (Pau-Loudenvielle), 2001: Laurent Jalabert (Strasbourg-Colmar), 2004 : Richard Virenque (Limoges-Saint-Flour), 2005 : David Moncoutié (Briançon-Digne les Bains), 2016 : Warren Barguil (Saint-Girons-Foix).

La suite du Tour de France de Jacques Vivier

- Jacques Vivier leader de l’équipe Sud Ouest donne des inquiétudes. Le Champion de Dordogne, une des principales victimes de la chute des Landes (Bordeaux-Bayonne) a non seulement perdu vingt minutes, mais il souffre atrocement de la cheville droite, sérieusement touchée au moment de la bûche collective. Très courageux, Vivier a repris le départ de Bayonne-Pau, mais Paul Maye se demande s’il pourra continuer.
- Finalement Vivier bouclera ce 41° Tour de France en terminant à la 40° place.

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - VIVIER VAINQUEUR UN 14 JUILLET © BERNARD PECCABIN
Après lecture, lire la fin de carrière de Vivier sur ce LIEN.

Publicité
Publicité
Commentaires
RETRO VELO DORDOGNE
RETRO VELO DORDOGNE

Blog destiné à recenser les informations sur le cyclisme de la Dordogne depuis sa création jusqu'à nos jours...(Photos, articles, reportages, etc...)
Voir le profil de Bernard PECCABIN sur le portail Canalblog

Publicité
Archives
RETRO VELO DORDOGNE
Derniers commentaires
Newsletter
Publicité