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RETRO VELO DORDOGNE
25 novembre 2020

MUSSIDAN : HISTOIRE RACING (1970)

1970 : SAISON DE TERRIBLE CONCURRENCE

RCM 70

Départ du Prix du printemps en 1970 à Mussidan

- Article précédent : la vie économique clé de réussite du cyclisme au RC Mussidan (pour ceux qui veulent revoir cet article, cliquez sur le lien.
- La saison 1970 débute à Mussidan par une petite guerre de communiqués à travers les lignes du journal Sud-Ouest. On lit "la joie règne à l'ESCA" avec une photo de jeunes à cheval sur les épaules des cyclistes, ou encore "l'ESCA tire les rois". Quelques jours après, la réplique arrive avec "ça tourne rond au RCM" complété par une série de résultats obtenus par Jacques Martin. On a l'impression que les deux clans vont s'affronter et dès le calendrier on constate que l'ESCA enregistre quatre épreuves pendant que le Racing en compte huit. Côté coureurs avantage à l'ESCA avec sept licenciés contre quatre au Racing. Il est vrai que Bernard Queyrouilh, Roland Guy et Régis Prat sont partis à l'Etoile et de ce fait la situation du Racing s'est soldée par une déroute d'autant plus que certains dirigeants ont suivi le même mouvement. Du fait que la situation de l'exercice précédent était déjà précaire, on comprend que maintenant le Racing voit ses jours en danger. Seul son secrétaire Henri Martin cherche à échapper au naufrage en maintenant en vie le club, mais les statistiques servent toujours de test de vérité impossible à dissimuler aux élus le temps des assemblées ou face aux instances cyclistes.

L'ÉTOILE SPORTIVE DES COMMUNES ASSOCIÉES (ESCA) : Association loi 1901 fondée en septembre 1969 et regroupant neuf communes.
Responsables locaux : Saint-Georges de Blancaneix : Borderie et Vidal, Eglise Neuve d'Issac : Deffreix, Bosset : Guy, Clament, Joyaux, Prat, Saint-Géry : Lacouve, Les Lèches : Laporte, Bourgnac : Mathieu, Fraisse : Lajaunie, Mussidan : Dugué, Saint-Front de Pradoux : Emilien Thouron, Président Général : M. Malleville, Vice-Président général : M. Clament, Président FFC : M. René Prat

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Matignon (ECF) vainqueur à Mussidan lors du prix du printemps

- La saison cycliste du Racing devient dès lors assez simple à raconter. Elle se rythme simplement avec le calendrier dont les épreuves constituent le lieu de rencontre privilégié des dirigeants en dehors des réunions qui n'apportent rien de nouveau. A Saint-Médard de Mussidan, Maurice Deffreix de l'ESCA termine avec la victoire, et même si on reste sport dans le fond, cela ressemble un peu à de la provocation dans la forme. L'ESCA organise son épreuve à Mussidan, s'empare des prix des Lèches et de celui d'Eglise Neuve d'Issac. Le président Malleville domine la situation surtout sur le plan de l'Ufolep qui ratisse large chez les jeunes et notamment dans les écoles publiques. En fait, l'ESCA réussit là où le Racing butte avec le recrutement des jeunes. Ceci est un vaste problème et une situation qui n'est pas spécifique au Racing. De tout temps l'Ufolep a marqué des points chez les jeunes pour la bonne raison que notre fédération ne s'est jamais montrée conciliante avec les tarifs sans parler de la réglementation très stricte rencontrée dans divers secteurs d'activités qu'elle impose. A elle seule, cette démarche démontre la différence de la conception cycliste entre l'Ufolep et la FFC. Pour avoir des jeunes il faut de la disponibilité, du temps et des moyens. L'ESCA et ses enseignants l'ont compris et tous les jeudis ils ont rassemblé les élèves des écoles primaires pour leur offrir des ballades, des exercices, des courses, des brevets dans le but de les préparer leur rentrée dans l'arène des grands.
LE BUREAU DU RCM POUR 1971 (Réunion du 24 janvier 1971) : Présidents d'honneur : M. Bonneau (maire et conseiller général), M. Gerbeaud, Président actif , M. Pierre Lochin, Vice-Présidents : MM. Andrieu et Queyrou, Secrétaire : M. Henri Martin, Trésorier : M. Serge Augièras, Membres : MM. Lagrange, Mirailles, Dufour, Tenant et Beylac.

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Roland Guy, Maurice Deffreix et Régis Prat (ESCA)

- Au Racing on renoue le 14 juillet avec la nocturne et un peloton digne des anciennes soirées Mussidanaises. Arnaud le Provençal s'impose devant de redoutables coureurs comme Fages et Melchior. Guy Bannes est au micro et Jacques Martin à l'épreuve de cette ronde infernale et face à son public acquis à sa cause. Un mois plus tard à Saint-Vincent de Connezac, Jacques Martin remporte le bouquet malgré une chute et une crevaison, ce qui est tout en son honneur. En Dordogne pas de grandes nouvelles si ce n'est le mariage du Président Crassat à Ribérac, le critérium de Saussignac toujours en vogue avec Luis Ocana sur le podium. Mais on se bouge un petit peu dans notre Dordogne avec d'autres critériums comme ceux de Villamblard, Monbazillac ou Mareuil sur Belle. Le Cyclo-Club Périgourdin reste le grand club de l'Aquitaine et organise à Excideuil le championnat régional des juniors. Dans nos palmarès on relève le nom de Pierre-Raymond Villemiane. Il est encore un modeste coureur de 3° catégorie et comme tous ses camarades son apprentissage n'est pas facile. Avec lui des cadets rentrent dans l'arène cycliste comme Bernard Becaas, Gilbert Duclos-Lassalle, Christian Jourdan, Francis Dusseau, René Bajan, Eric Vermeulen, Bernard Pineau et même un certain Albert Chaussade licencié cadet à l'UC. Montpon. Manifestement le fils de notre ex-directeur sportif, s'est tourné vers le cyclisme après avoir goûté au Tour de Mussidan à trottinettes, assurant ainsi la continuité de la famille. On savait qu'à cette époque Albert Chaussade père voyageait beaucoup pour les firmes Raleight et Flandria. Lorsque le Tour de France traversait sa zone de compétence, Albert Chaussade se déplaçait dans les villes étapes à la rencontre des champions qui honoraient sa marque mais aussi pour présenter ces maisons de cycles lors de ces réceptions à vocation publicitaires et commerciales. Ceci permet d'ouvrir une parenthèse, en précisant que depuis 1969 le Tour ne se courait plus par équipe nationale, mais par marque extra-sportive et que, durant ce temps, les cycles ou les accessoiristes furent longtemps associés à d'autres partenaires pour former une ossature professionnelle qui n'était ni plus ni moins qu'une équipe.

LES COURSES DE 1968 à 1974 - LA ROUTE SOUS INFLUENCE :
- Durant cette période le monde du cyclisme est écrasé par la personnalité omnipotente d'Eddy Merckx. Des champions il y en a eu, quelques uns font même partie de la légende, mais jamais un coureur n'a régenté aussi totalement le peloton, sur tous les terrains et en toute saison. La trajectoire du Bruxellois est rectiligne, son ascension fulgurante, depuis son titre mondial amateur en 1964 à Sallanches, à l'âge de 19 ans, jusqu'à ses cinq victoires dans le Tour de France, la dernière en 1974. Dix ans d'un règne ininterrompu, d'une domination sans faiblesses, car Merckx est non seulement doté d'un potentiel physique exceptionnel et d'une ambition dévorante, mais il est également dépourvu d'états d'âme. Cette absence de scrupule, ce manque de diplomatie diront certains, le conduisent rapidement à évoluer dans un environnement sourdement hostile, où chacun de ses exploits prend l'allure d'une humiliation pour ses adversaires. Rik Van Looy, son prédécesseur dans le cœur du public belge et au palmarès de nombreuses classiques, l'a compris le premier. En 1965, il évolue au sein de l'équipe Solo aux côtés d'Eddy Merckx qui effectue ses débuts professionnels. Entre la vedette vieillissante et le futur champion, la rivalité sportive tourne en quelques mois au conflit de générations et Merckx sera contraint l'année suivante de trouver refuge chez Peugeot pour laisser libre cours à son formidable tempérament.
- Rarement l'émergence d'un tel champion a provoqué autant d'effets secondaires. Dans un premier temps - c'est la règle - on lui oppose un rival national. C'est Walter Godefroot, aussi rapide que lui aux arrivées, mais nettement inférieur en montagne et contre la montre. Merckx possède une autre envergure, et comme il n'est pas l'homme des demi-mesures, il ne ménage aucun de ses adversaires, allant même jusqu'à ridiculiser les italiens au Tour de Sardaigne, une simple course de préparation. Son individualisme forcené, sa supériorité manifeste, provoquent bientôt la réprobation générale du peloton et dès 1968 (Merckx n'a que 22 ans) une coalition anti-Merckx à forte coloration italienne voit le jour au départ de chaque épreuve.
- En 1969, Eddy Merckx a définitivement placé le cyclisme sous influence en remportant le Tour de France à sa première tentative. Et l'inquiétude suscitée par sa domination outrageuse remonte jusqu'aux organisateurs des plus grandes épreuves, le Tour en particulier.
- "Merckx tue-t-il le cyclisme ?" interrogent-ils, relayés par de nombreux journalistes. Question paradoxale en une période où le cyclisme connaît précisément son plus beau champion, son plus noble représentant. Ce qui est sûr, en revanche, c'est que Merckx met en péril toute l'économie du système vélo. Hors de Merckx, point de salut pour les organisateurs qui pratiquent la surenchère pour s'assurer la présentation du coureur belge au départ de leur épreuve. Ses adversaires deviennent des laissés pour compte, leurs tarifs dégringolent et le phénomène rejaillit même sur les sponsors qui ne voient pas la nécessité d'investir dans le cyclisme s'ils ne peuvent s'attacher les services de Merckx. Autant de conséquences indirectes qui ne font qu'ajouter au caractère d'exception d'un champion hors norme.

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Arnaud (Gap) vainqueur le 14 juillet à Mussidan

- En fin de saison les assemblées se suivent et il est intéressant de lire le rapport de l'ESCA qui compte 53 membres dont 26 coureurs. Ce constat prend une autre dimension lorsque l'on fait le décompte du secteur FFC où trois victoires seulement honorent le club pour cinq coureurs détenteurs en définitive d'une licence fédérale. Comme quoi seule la branche UFOLEP semble marcher mais lorsque il faut s'attaquer aux problèmes communs du cyclisme amateur de notre chère FFC, l'ESCA ne fait pas mieux que le Racing et encore en se permettant d'empiéter dans son patrimoine, puisque seule l'épreuve de Bosset constitue une innovation à mettre à leur crédit.
- Le 24 janvier 1971, le Racing se réunit dans le cadre de son assemblée générale et en présence d'Yves Guéna député, qui assiste aux travaux au siège du grand café puis au repas à l'hôtel de France. Pas de chamboulements, pas de remaniements, une situation saine sur le plan financier présenté par le tout nouveau trésorier Serge Augièras, des primes pour les coureurs avec points dégressifs jusqu'à la 4° place sont annoncés, un point c'est tout ! Le Racing a vécu sa saison 1970, il poursuivra en 1971 ses activités puisque en définitive, on a décidé de prendre les mêmes et de recommencer.

COURSES DU RACING ET DE L’ESCA

Prix du printemps à Mussidan (1° mai).
1° Bernard Matignon (EC. Foyenne), 2° Cigana (US. Bouscat), 3° Pierre-Raymond Villemiane (VC. Bergerac), 4° Martin (RC. Mussidan), 5° Dupouy (Lourdes), 6° Bruletout (Coutras), 7° Joubert (G. de Bordeaux), 8° Biale (VC. Bergerac), 9° Morin (G. de Bordeaux).
Saint-Médard de Mussidan (15 juin).
1° Maurice Deffreix (E.S.C.A.), 2° Patrick Duteil (Bordeaux), 3° André Dugué (ESCA), 4° Marache (CC. Périgueux), 5° Ouvradou (VC. Bergerac), 6° Fioratto (Bordeaux), 7° Bernard Estève (EC. Foyenne), 8° Robert Bibié (CC. Périgueux), 9° Bassi (EC. Foyenne), 10° Paséro (AS. Miramont).

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Jean-Paul Laud, Dazat et Querouilh le 21 juin à Mussidan

A Mussidan (21 juin – organisation de l'ESCA).
1° Dazat (ASPTT. Paris), 2° Laud (CC. Périgueux), 3° Delaunay (Fontenay), 4° Queyrouilh (ESCA), 5° Christian Arquey (VC. Bergerac), 6° Lambert (Bergerac), 7° Caneiro (US. Bouscat), 8° Gay (Bergerac), 9° Chatelas (Agen), 10° Delfau (Angoulême).
 Mussidan (14 juillet).
1° Arnaud (Gap), 2° Fages (Lézignan), 3° Barthe (Lézignan), 4° Melchior (Saint-Eloy), 5° Rolleau (Tarbes), 6° Grimaud (Charron), 7° de Santi (US. Talence), 8° Démartin (Périgueux), 9° Sauvignat (Périgueux), 10° Christian Arquey (Bergerac), 11° Bardoulat (Nontron), 12° Martin (RC. Mussidan), 13° Guimberteau (Girondins de Bx), 14° Lécuyer (Lalinde), 15° Queyrouilh (ESCA).
Prix de Bosset (26 juillet – organisation de l'ESCA).
1° Bernard Bodin (Prigonrieux GC), 2° Gérard Felzines (Stade Cadurcien), 3° Pierre Pacaud (VC. Barsac), 4° Daniel Laffargue (Fumel), 5° Maurice Deffreix (ESCA), 6° Jean-Claude Munaritz (AS. Monségur), 7° Yves Delfau (Angoulême), 8° Patrick Fournier (VC. Barsac), 9° Christian Dubur (VC. Bergerac), 10° Jean-Luc Durieux (CC. Périgourdin).

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Ecole de cyclisme de l'ESCA (Etoile Sportive des Communes Associées)
Fouillaret, Barrat, Dechaize, Gauffre, Duorzak, Plaçot et Barco

Prix de Saint-Germain du Salembre (26 juillet).
1° Guy Mazet (Saint-Eloy les Mines), 2° Eyquard (US. Bouscat), 3° Ben-Brahim (UCD. Villeneuve), 4° Alizié (Agen), 5° Lécuyer (Lalinde), 6° Badoures (Agen), 7° Dutertre (Talence), 8° Lacaud (Périgueux), 9° Desco (Marmande), 10° Casas (Libourne).
Eglise Neuve d'Issac (2 août – E.S.C.A.).
1° Raymond (Pédale Jonzac), 2° Jacques Bossis (Royan), 3° Bourdin (EC. Foyenne), 4° Deffreix (ESCA), 5° Lacotte (VC. Cluzien), 6° Pelaud, 7° Darrin, 8° Calzavara, 9° Puissant, 10° Casagrande.
Prix des fêtes de Chantérac (2 août).
1° Raphaël Truffy (CC. Périgourdin), 2° Paulhac (Nontron), 3° Gérard Mazy (CC. Périgueux), 4° Delubriac (Périgueux), 5° Sybiac (Libourne), 6° Blondy (Périgueux), 7° Géraud (Nontron), 8° Christian Jourdan (EC. Foyenne), 9° Douat (Nontron), 10° Albert Chaussade (UC. Montpon).

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L’ESCA (Entente Sportive des Communes Associées) prépare le prix des Lèches et
compte bien sur son équipe pour l’emporter avec Defreix, Queyrouilh,
Dugué, Guy et Prat (de gauche à droite).

Saint-Etienne de Puycorbier (9 août).
1° Jean-Marie Guillon (CC. Périgueux), 2° Geoffroy (ESCA), 3° Guy (ESCA), 4° Bebey (EC. Foyenne), 5° Bobineau (Coutras), 6° Bernard Estève (EC. Foyenne), 7° Lajarthe (CC. Périgueux), 8° Desmoulin (CC. Périgueux), 9° Lapeyronie, 10° Faure (Périgueux).
Prix des Lèches (10 août – E.S.C.A.).
1° Alain Maratrat (Puteaux), 2° Maurice Deffreix (E.S.C.A.), 3° Bernard Queyrouilh (E.S.C.A.), 4° Laud (CC. Périgueux), 5° Daubisse (Périgueux), 6° Noël (Charenton), 7° Jean-Claude Mespoulède (Périgueux), 8° Biale (Bergerac), 9° Bernard Bodin (Prigonrieux), 10° Bobineau (Coutras).
Saint-Vincent de Connezac (16 août).
1° Jacques Martin (RC. Mussidan), 2° Fulchic (Tonneins), 3° Fantino (Monségur), 4° Royère (Lalinde), 5° Cérantola (UCD. Villeneuve), 6° Tonini (VC.Langon), 7° Bernard Bourreau (CA. Civray), 8° Biale (Bergerac), 9° Fraschini (Talence), 10° Lambert (VC. Bergerac).
Prix de Saint-Martin l'Astier (8 novembre)
1° Jeantet (Macau)

QUELQUES GRANDS DE LA SAISON 70

Eddy Merckx, Eric de Vlaeminck, Eric Léman, Walter Godefroot, Franz Verbeeck, Felice Gimondi, Luis Ocana, Joop Zoetemelk, Georges Chappe, Herman Van-Springel, Lucien Aimar, Rosiers, Paul Gutty, Gonzales-Linares, Gosta Pettersson, Bernard Thévenet, Jean-Pierre Monséré, Mortensen, Olé Ritter, Michele Dancelli

CEUX QUI BRILLENT EN PÉRIGORD

Démortier (Bergerac), Lucien Sautier (CC. Périgourdin), Christian Darrin (CC. Périgourdin), Serge Daubisse (CC. Périgourdin), Jean-Serge Calmette (CC. Périgourdin), Maurice Deffreix (ESCA), Alain Glaudon (Guidon Sarladais), Robert Bibié (CC. Périgueux), Jacques Martin (RC. Mussidan), Christian Dubur (Bergerac), Roger Démartin (CC. Périgueux), Michel Dutertre (UC. Nontron), Claude Denis (CC. Périgueux), Serge Besse (Pédale Nontron), Claude Hue (CC. Périgourdin), Raphaël Truffy (CC. Périgueux), Pierre-Raymond Villemiane (VC. Bergerac), Gérard Lambert (VC. Bergerac).

LES VEDETTES DU SUD-OUEST

Jean-Pierre Barbe (CA. Béglais), Jacques Esclassan (CV. Montastruc), Francis Duteil (CRC Limousin), Roger Saladié (UA. Vic-Fezensac), Maurice Laforest (US. Pons), Alain Bernard (US. Bouscat), Michel Fedrigo (P. Tonneins), Bernard Bourreau (CA. Civray), Francis Dubreuil (CRC Limousin), Patrick Gavalda (Guidon Montauban), Michel Pitard (US. Pons), Michel Lescure (CV. Montastruc), Christian Thimonnier (AS. St. Junien), Claude Mazeau (CC. Lindois), Maurice Aussenac (VC. Pays d'Olmes), André Corbeau (CA. Civray), Claude Magni (VC. Langon), Roger Darrigade (US. Dax), Marcel Gaffajoli (SC. Toulouse), Henri Bonnand (Saint-Juéry), Daniel Barjolin (CA. Civray), Mazeaud (CRC. Limousin), Daniel Salles (Muret).

VÉLO DORDOGNE - MUSSIDAN (16) © BERNARD PECCABIN
Prochain épisode : 1971 Un nouveau Président

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Commentaires
M
merci pour la première photo, où se trouve Jacques Martin avec sa casquette, sur la ligne de départ. Mme Martin
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