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RETRO VELO DORDOGNE
3 juin 2021

MARSAC SUR L’ISLE (course disparue)

MARSAC LIEU DE DEPART DES ANCIENNES COURSES

- Marsac sur l’Isle a été pendant une période un lieu disons respectable pour le cyclisme. Tout d'abord parce que les anciennes courses Périgueux-Montpon et retour à la fin du 19° et au début du 20° siècle partaient d'ici. Ensuite lorsque la zone industrielle naissante faisait sa promotion, avec surtout l’installation d’Auchan. Il y a eu aussi des randonnées patronnées par Auchan, il y a eu une gentleman qui faisait recette en termes d’équipes, il y a eu aussi des nocturnes avec la Pédale Faidherbe, sur le parking de cette grande surface. Ce grand élan s’est malheureusement terminé lors du millénium (an 2000).
- Mis à part cette longue série, Marsac et son Prix des fêtes ont également existé lors de la Pentecôte, mais cette course sur la route de l’Evêque n’a pas vraiment percé... Par contre, la commune a accueilli plusieurs fois les écoles de vélo.

Marsac 86

Départ de la nocturne en 1989 sur le parking Auchan

1951 Charles Martin (CC Périgourdin)
1989 Mario Vérardo (TS Mourens) course du 14 juillet, 1991 Bernard Mazeau (Pédale Faidherbe) course du 14 juillet, 1992 Maurice Loustalot (CCP Nontron) course du 14 juillet, 1993 Christian Magimel (CRC Limoges) course du 14 juillet.

Marsac 86

Mario Vérardo (TS Mourens) sur la plus haute marche en 1989

1995 Samuel Duval (Asptt Périgueux) et Nicolas Fournier (Mérignac VC) associés lors de la gentleman - (notre photo ci-dessus aux côtés du speaker Jean-René Villechanoux).
1996 Bruno Blangeois (Guidon Pellegruen) épreuve de VTT, Patrice Peyencet associé à Bernard Mazeau à la gentleman, 1997 Bruno Blangeois (CA Périgueux) épreuve VTT, Sébastien Grendene (AC Uzerche) en SR et Lucien Sautier (CC Périgourdin) en SD, Christophe Cuménal (CC Périgourdin) associé à Ferreira (AS Libourne) à la gentleman, 1998 Bertrand Vallade (CCP Nontron) épreuve cadets, Alexandre Cotte (CC Périgueux) en cadets, Alain Ducau (CRCL) en SD et Xavier Godfroid (CC Périgourdin) en séniors lors d’une épreuve de masse, Laurent Dublé (SA Mérignac) en cadets puis Pascal Garin (Tonneins) en minimes (Prix des fêtes), Christophe Cuménal (CC Périgourdin) associé à Ferreira (AS Libourne) à la gentleman, 1999 Lucien Sautier (CC Périgourdin) épreuve de masse, Eric Darragnès (ASPTT Périgueux) en SN puis Michaël Gonthier (VC Livradais) en SD prix des fêtes, Stéphane et Didier Meynier (CC Marmande) associés à la gentleman.

Marsac 1

La gentleman, una ancienne institution à Marsac-Auchan

2000 Yoann Cado (AVC Libourne) en cadet, Guillaume Carreau (CC Périgueux) en série régionale et Didier Lavesne (CC Périgueux) en série nationale à la Rand’Auchan, Nicolas Rebeyrotte (GC Bergerac) en minimes puis Stéphane Lavignac (GC Bergerac) en SR prix des fêtes, Frédéric Maly associé à Bruno Ceyssat (CC Périgourdin) à la gentleman.

Marsac 2

Fournier associé à Duval vainqueur en 1995 de la gentleman

2001 Sébastien Priéto (La Couronne) en cadets, Jean-Marc Germagnan (JS Astérienne) en série régionale et Michel Besse (ACLBP) en série nationale à la Rand’Auchan.

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - MARSAC - © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

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2 juin 2021

LE CYCLISME DE L’ENTRE DEUX GUERRES (4° partie)

LA FIN DU VÉLODROME ET SES CONSÉQUENCES

- Relire la publication précédente.

LA FIN DU VÉLODROME

- Peu de changements en 1930 et 1931 dans les participants. Des jeunes arrivent : Tenant, Vigier (Fernand), Moulinier, Besse, Rebeyrol. Si en 1930, Laval se classe dixième dans le Tour de France touristes-routier et 35° au classement général, il abandonne la Grande Boucle en 1931. Vigier bien qu’ayant débuté depuis peu de temps, gagne en 1931 le championnat de vitesse. Pendant les années 1932-33, tout le monde reste en selle, mais les vedettes sont inquiétées par les jeunes Tenant, Vigier (Fernand), Moulinier, Armet et Ronteix. Armet enlève le championnat de fond en 2h52’.

vjr

Vigier, Jamay et Rebeyrol la nouvelle vague des années 30

On refait le vélodrome

- En 1933, au vélodrome, le virage côté nord se comporte très mal, aussi faut-il le refaire, mais avec quels moyens ? Les Périgourdins avaient parmi leurs parlementaires un de ces notables tous terrains comme le radical-socialisme savait en sécréter sur fond de banquet, de comice agricole et de tradition clientéliste. Georges Bonnet alors ministre, fut mis au courant des petites misères de ses compatriotes et de leur obligations de ses compatriotes de cesser les réunions, la piste n’étant plus praticable.
- Ne voulant pas que les Périgourdins soient privés d’un des sports favoris, il fit attribuer au COPO au titre de l’équipement sportif, une subvention permettant de reconstruire le virage impraticable et de revêtir d’une légère couche de ciment le virage opposé, ainsi que les lignes droites.
Le 14 mai 1933, le nouveau vélodrome était inauguré sous la présidence de Georges Bonnet auquel les Périgourdins ne ménagèrent pas leur reconnaissance.

champion vitesse 31 et 31 Vigier

René Vigier champion de vitesse en 1931 et 1932 ici au vélodrome de Périgueux

Le vélodrome remplacé… par les boulevards

- Après l’enthousiasme et la spontanéité, le sport cycliste s’est plié lui aussi aux règles nécessaires à son organisation. Santé d’abord. On évolue en sport et en raison de l’effort que doivent fournir les athlètes, on institue au Cyclo en 1934 une surveillance médicale. Cette évolution et modernisation dans la pratique du sport cycliste est particulièrement suivie par M. Duluc vice-président du club. Pas sa sagacité, le docteur Rebeyrol rend de grands services aux coureurs. Les parents des jeunes coureurs sont ainsi tranquillisés, persuadés que leurs enfants ne feront pas d’efforts susceptibles d’altérer leur santé. On constate en 1934 que ceux qui, pendant longtemps eurent les honneurs, se ressentent du poids des ans. Certains savent partir en beauté, d’autres persistent mais les Tenant, Vigier, Moulinier, Robert, Rebière jouent à présent les premiers rôles. Grand vide pourtant cette année-là en cyclisme.

Périgueux-bordeaux

Coureurs lors de Périgueux-Bordeaux

- Un an après le virage Est du vélodrome ne présentait plus la sécurité suffisante quant à son sol. De plus les finances de l’Etat ne permettaient pas de venir en aide aux organisateurs. C’est alors que la commission décide de suspendre les réunions. La dernière manifestation cycliste sur la piste eut lieu le 13 mai 1934. Changement dans l’organisation de l’UVF : Jean Galinat, chef délégué sportif, devient président du comité départemental. En 1935, très beau début du jeune Sautet, qui, l’année suivante enlève le Premier Pas Dunlop et se classe parmi les coureurs les plus en vue. Mounet fait ses débuts en 1937. Débuts qui ont tenu leurs promesses, puisqu’il fut l’un des meilleurs jusqu’à la guerre et même après d’ailleurs.
- Au début de 1938, autre changement à l’UVF, avec l’arrivée de René Leygues comme chef délégué sportif. Les courses sur route sont toujours très nombreuses, mais tout le monde se ressent de la disparition du vélodrome, qui porte un grand coup à toute l’animation à Périgueux.
- Les Périgourdins ne pouvaient cependant se passer des compétitions. Robert Moncet alors membre du comité du Cyclo-Club Périgourdin a l’idée d’organiser "le Tour des Boulevards" dont on connait aujourd’hui encore le succès. Mais l’époque héroïque a vécu.

Verlaine, Chastaing, Mazeau et Vigier

Verlaine, Chastaingt, Mazeau de Limoges et Vigier ténors des années 30

LES AS DE L’ENTRE DEUX GUERRES
(Très utile à lire, histoire de voir les lieux des épreuves de cette période)

- Des quatre départements du Limousin, la Dordogne a toujours été celui qui avait le plus de vitalité sur le plan des licenciés, des organisations, comme des résultats. L’entre deux guerres a été comme on vient de le lire une période faste pour ce département. Le présent article rappelle les noms de ceux qui ont honoré la discipline de 1920 à 1939. Débutons avec les champions départementaux soit :
- FOND : Jacoupy, Jamay, Laval, Vigier, Rebière
- VITESSE : Rius, Houssay, Pierre Tenant, Chastaing, Jamay, Laval, Matigot, Mounet.
- CYCLO-CROSS : Palavert, Chinouille, Isidore Jamay, Ravidat, Robert, Marchès.

- Sur route, des champions de Dordogne enlevèrent de belles classiques. Parmi eux citons :
- Lucien Laval (CC Périgourdin puis Pédale Faidherbe) : 1° de Bergerac-Périgueux-Bergerac devant le fameux espagnol Démétrio Vicente. Puis second du Derby Villeneuvois derrière Jean-Baptiste Intcigarruy (Bayonne) et devant Marcaillou. Second encore à Bordeaux de l’Etoile Amer Picon.
- Paul Jamay (Pédale Faidherbe) : 1° du Grand Prix de l’AVC Libourne, 2° en 1933 au Championnat de France des Aspirants derrière Salazard et devant Vanderdonckt. 1° des circuits de l’Aude, du Targonnais, de Bourcefranc, des dunes à Arcachon, de Saint-Aigulin, de Montbron, des Grands Prix du Journal de Périgueux, Langon, du prix Bonal à Bergerac et de la Trinité à Guéret.
- Isidore Jamay (Cyclo-Club Bergeracois) : Vainqueur par deux fois du Grand Prix de Lalinde, des Prix Gallien à Bergerac. Lauréat au Coux, à Ménestérol et à Saint-Laurent des Hommes.
- René Vigier (CC Périgourdin) : 1° des Grand Prix Rochet à Périgueux, du Faubourg Saint-Georges à Périgueux, de Sainte-Foy la Grande, des Eyzies. 12° en 1937 au classement général du Tour du Sud-Ouest de la Petite Gironde.

Vigier et Armet à Villeneuve

Vigier et Bob Armet lors d'une course à Villeneuve sur Lot

- Bob Armet (CC Périgourdin puis Pédale Faidherbe) natif de Paris : 2° en 1936 au Courrier du Centre derrière le champion de France 1930 Henri Bergerioux et devant le "Tour de France" Antonio Prior, 2° à Carthagène, 1° du Circuit Ravat-Wonder à Sainte-Foy la Grande et du Prix de Coursac.
- Raymond Ronteix (Pédale Faidherbe) : 1° de Bergerac-Villeneuve et de Périgueux-Bergerac devant le "Tour de France" et "Tour du Sud-Ouest" Jean Fréchaut.
- Fernand Vigier (CC Périgourdin) : 1° du Grand Prix de la ville de Terrasson et du Grand Prix de Montpon.
- Pierre Tenant (CC Périgourdin) : 1° du Grand Prix du Bugue, du Prix Conchon Quinette à Limoges, de la ville de Capdenac, du Prix Terrot à Libos, de la course de côte de la Rampinsolle, 2° du Grand Prix Peugeot derrière le Champion de France Paul Maye et devant Gérard Virol.

Marius Duteil en 1936 à Gardonne

Marius Duteil en 1936 à Gardonne lien entre l'entre deux guerres et l'après  libération

- Marius Duteil (CC Foyen, puis à Libourne et ensuite au CC. Périgourdin et au CA Ribéracois) : 1° du Challenge Decazes à Libourne, puis par deux fois du Prix de Sainte-Foy (voir aussi son palmarès d’après guerre ici)
- Raymond Rebière (Pédale Faidherbe puis CC Périgourdin) : 1° du Grand Prix Marc Pineau à Périgueux, 1° à Marsac, 1° à Saint-Vincent Jalmoutiers, 1° ex-œquo avec Armet à Montignac sur Vézère.
- Léon Chastaing (Pédale Faidherbe) : Vainqueur par trois fois du GP de Belvès, puis de celui des commerçants à Périgueux devant Da Ros. Premier du Prix de la Pédale Barbezilienne, des commerçants de Sarlat, du circuit du Lot et de nombreuses américaines.
- René Matigot (en Dordogne à ses débuts, à Arcachon ensuite) : 1° du Prix Municipal à Sarlat, 1° du circuit d’Aurillac devant Aumerle, 9° du Championnat de France des Aspirants.
- Jean Marchès (de Villeréal puis à l’UC Bourges et enfin à l’US Bergerac) : 1. Du Grand Prix des Eyzies, de Monpazier, Sainte-Sabine, du Grand Prix de vitesse de Montauban, 1° du cyclo-cross des As à Bergerac.
- Tels furent les As de la Dordogne de cette période auxquels il convient d’ajouter Raphaël Calmette, le fameux routier "Tour de France" de Montpon.

Trophée de Vigier

Trophée et médailles de Vigier

RÉTRO VÉLO DORDOGNE – LE CYCLISME DANS L’ENTRE DEUX GUERRES 4
© BERNARD PECCABIN La mémoire du cyclisme en Dordogne

2 juin 2021

LE TOUR DE FRANCE EN DORDOGNE

HISTOIRE DU TOUR EN PÉRIGORD

Tour de France peloton

- Coureurs de Dordogne sur le Tour de France. (liste des 20 coureurs).
- Historique des 26 passages du Tour de France en Dordogne (itinéraire, étapes, vainqueurs, etc…).
-
Ils ont couru en amateur en Dordogne et les voilà au Tour de France.
- 1952, l’étape qui traverse la Dordogne est gagnée par Jacques Vivier.
- 1952 : Premier passage du Tour en Dordogne et victoire de Vivier. 1952.
- 1961 Périgueux ville étape du Tour de France (arrivée du chrono Bergerac-Périgueux).
- 1961, Périgueux, ville départ d’étape (Périgueux-Tours).
- 1964, la tragédie de Port de Couze.
- 1985, Montpon ville départ du Tour de France.
- 1994, trois jours en Périgord.
- 1995, Montpon ville départ du Tour pour la deuxième fois.
- 2007, traversée de la Dordogne lors de Cahors-Angoulême, reportage.
- 2007, une journée Tour de France à Château-l’Evêque.
- 2014, présentation du passage du Tour et reco Bergerac-Périgueux par les coureurs.
- 2014, Maubourguet-Bergerac, reportage.
- 2014 Bergerac-Périgueux contre la montre
- 2017 : Ça sent le tour.
- Le parcours Bergerac-Périgueux par Lascaux 4. Itinéraire couru en 2017.
- Périgueux honore Petit-Breton et invite sa famille. 2017.
- Périgueux-Bergerac 2017. Préparatifs.
- Eymet ville départ d’étape du Tour en 2017 (Eymet-Pau). Histoire du vélo à Eymet 1° partie.
Eymet ville étape ville départ d’étape du Tour en 2017. Histoire du vélo à Eymet 2° partie.
- Eymet ville départ d’étape du Tour en 2017. Histoire du vélo à Eymet 3° partie.
- 2017 la rétro des trois jours en Dordogne.
- Quentin Pacher au Tour 2020 - 1° partie.
- Quentin Pacher 2021 : beau final et sélection pour le mondial.
- Libourne-Limoges en 2023 par le Périgord Vert

RÉTRO VÉLO DORDOGNE – TOUR DE FRANCE EN DORDOGNE © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

1 juin 2021

RAYMOND CHAMINAUD -Décès d'un cycliste

DÉCÈS DE PAUL CHAMINAUD dit Raymond

- C'EST AVEC UNE GRANDE TRISTESSE QUE NOUS VENONS D'APPRENDRE LE DÉCÈS DE PAUL CHAMINAUD (dit Raymond) Ā L'AGE DE 92 ANS. COMME LE TÉMOIGNE CET ARTICLE, RAYMOND CHAMINAUD A ÉTÉ UN GRAND ACTEUR DU CYCLISME PÉRIGOURDIN DES ANNÉES 50 (lire par ailleurs le palmarès ci-dessous.)
- PÈRE DE JEAN-FRANÇOIS, IL A ÉTÉ UN GRAND ACTEUR DE CE CYCLISME D’APRÈS GUERRE QUI AVAIT EN DORDOGNE UNE SAVEUR DE LIMOUSIN MÉLANGÉ A CES COURSES DE CLOCHER QUI ANIMAIENT NOS FÊTES ET QUE VOUS RETROUVEREZ DANS LES LIGNES CI-DESSOUS ÉCRITES L'AN PASSÉE. RAYMOND CHAMINAUD APPARTENAIT A UNE GRANDE FAMILLE DE CYCLISTES LIÉE A CELLE DES BRUN DE MAREUIL SUR BELLE.
- A SA FAMILLE ET A JEAN-FRANÇOIS, "RÉTRO VÉLO DORDOGNE" EXPRIME SES SINCÈRES CONDOLÉANCES.
Raymond Chaminaud repose désormais au cimetière de Mareuil sur Belle.
Palmarès connu de Raymond Chaminaud (Source Michel Delugin)

1950 - Mussidan - 1° Terrasson  (2° René Montagut) - 1° Bourgnac (2° Jean Inizan).

1951 - Montpon - 1° St Médard de Mussidan (2° Max Peyssard).

1952 - (CA Ribérac) - 1° Lanouaille - 2° Lisle (1° Gourmelon) - 4° Ribérac (G Prix des Artisans 160 km 1° Michel Brun) - 6° G Prix La Filolie (1° Dihars).

1953 - (CA Ribérac) - 1° G Prix des Fêtes de St Aulaye - 1° G Prix de Audrix - 1° du Prix de Passirac (16) – 1° à St Vincent Connezac – 1° Prix des fêtes de Montpon (devant Barquero) - 1° à Rouffignac - 1° à Aubeterre - 2° du prix des Artisans à Ribérac (1° Montagut) - 3° à Javerlhac (derrière Rippe et Montagut).

1954 - ( CA Ribérac) - 1° de la 3° course de classement à Ribérac - 1° G Prix de la Couronne 170 km (2° Hervé Prouzet) - 1° G Prix Luxor à Angoulème (2° Montagut) - 2° Championnat du Limousin des sociétés avec Losmède - Michel et Jacques Brun - René Boisdon - 3° G Prix Dony 210 km (1° Jacques Vivier - 2° Valentin Huot) - 3° Prix de Verteillac (1° Michel Brun) - 3° Prix d'Allassac (1° Prouzet - 2° Sabbadini) - 4° Prix de Nantiat (87) - (1° Marcel Guitard), 5° Chalais Montboyer (1° Michel Brun).

1955 - (CA Ribérac) - 1° Limoges Vigenal (2° René Dufour) - 1° du VI° circuit de Cellefroin (16) - 2° Cubas (1° André Bernard) - 1° Prix de Châteauneuf (16) - 1° à Château Garnier (2° Lemaître), 2° G.Prix de Mussidan 140 km (1° Michel Brun) - 2° Prix des fêtes de Verteillac (1° Jacques Brun) - 3° Domme - 4° Cussac (87) - 5° G Prix Allassac - 5° Prix Lapasserie à Périgueux (1° Cazala) - 6° Maisonnais Tadoire (1° Jacques Brun).

1956 - (CA Ribérac) 1° Dournazac (2° Achille Davanzo) - 3° St Martial de Valette (1° Pierre Beuffeuil), 4° Thiviers critérium professionnel (1° Gilbert Bauvin, 2° Conterno, 3° Bahamontès, 6° André Darrigade, 7° Charly Gaul).

CHAMINAUD RIME AVEC VÉLO ET SAINT-JEAN D’ATAUX

- Ce n’est pas un article de presse que vous allez lire aujourd’hui, mais le passage d’un livre que j’ai particulièrement apprécié. Car il évoque sur ce paragraphe repris, ce qu’était "le cyclisme de clocher" le vrai,  lorsque les gens de ma génération portaient des culottes courtes. Et comme d’une pierre on peut faire deux coups, il raconte aussi un passage de la carrière de Raymond Chaminaud - natif de Saint-Jean d’Ataux - père du coureur Jean-François que nous avons connu tour à tour à la Pédale Thibérienne, puis à l’EVCC Bergerac, avant qu’il ne s’exile en Charente, c'est-à-dire au Cyclo-Club de Vervant puis à l’Union Cycliste Aunis Rochelaise.
- Raymond Roucheyrolle et son épouse Huguette (les auteurs du livre en question) ont effectué une randonnée de La Rochelle à La Grande Motte. Tout le long de leur périple, ils racontent leur ballade mais aussi au fur et à mesure des régions traversées, la vie des gens qui ont fait l’histoire. Ce livre "Méli-Vélos" est préfacé par Jean Pitallier et a été édité aux éditions Cheminements. Un conseil : lisez le ou commandez le, vous ne serez pas déçu car il incarne la pratique cycliste dans le pur sens du terme. Sans plus attendre, je vous invite à lire ce paragraphe qui se situe lors de la 3° étape de leur périple, c'est-à-dire de Aubeterre à Saint-Jean d’Ataux

Chaminaud Raymond

Raymond Chaminaud sur la cendrée du stade de Ribérac
à l’issue du contre la montre où il se classa 33° lors de la Route de France

 - "Un dernier coup de rein sur les derniers kilomètres au bitume ravagé par les engins de débardage et voici enfin le village de Saint-Jean d’Ataux tant attendu. Un endroit caché, à l’écart de la nationale, comme retiré du monde, un lieu que les cartes ne mentionnent que par obligation et dont les guides touristiques ne soupçonnent même pas l’existence. Et pour cause : trois ou quatre maisons, la mairie, une église, un cimetière, une école fermée depuis plus de 40 ans, pas un café, pas un commerce, le genre d’endroit que le temps semble avoir figé pour mieux le préserver. Une petite oasis perdue dans la forêt, où j’aime venir me ressourcer et dont rien, hormis le Tour Cycliste du Canton de Neuvic, ne semble pouvoir altérer la quiétude. Une épreuve haute en couleurs, désormais réputée grâce au dynamisme du maire de ces lieux et aux efforts de la JSA de Saint-Astier, qui rassemble sur son parcours tourmenté un redoutable plateau d’élites et de néo-pros qui filent comme des flèches, trois heures durant pour percer au plus haut niveau, et dans laquelle le talentueux Stéphane Reimherr du Cyclo-Club Périgourdin est désormais devenu la cible sur laquelle s’acharnent ses compagnons de route.
NDLR : L’étape de Saint-Jean d’Ataux n’est pas du au hasard, mais par le simple fait que l’auteur est natif de ce village et plus exactement de la Veyssière, un gros hameau situé sur la RD 709 entre Ribérac et Mussidan.

 - Rien d’étonnant que ce petit coin de la Double du Périgord ait vu naître un de ses tout meilleurs cyclistes des années cinquante. Je veux parler de Raymond Chaminaud qui inspira de belles envolées à quelques reporters sportifs, spécialistes du cyclisme comme Angel Laligne de la Charente Libre et Claude François du Populaire du Centre. Un petit gabarit, pétri de classe et qui fit justement ces premières classes sur ces mauvaises routes dont la plupart n’étaient pas encore bitumées. Des routes aux pourcentages terribles en certains endroits, comme la côte de la Maligne, celle de Puycrollet et celle des Granges de Magentou. Des grimpées à 18% sur trois ou quatre cents mètres qui vous font exploser le cardiomètre en moins de deux.
- Il n’a rien oublié de ce temps-là Raymond Chaminaud. Son enfance durant la guerre où la ferme de son père servit maintes fois de cache et d’entrepôt à la Résistance. Le hold-up du siècle en gare de Neuvic toute proche, où un groupe de résistants commandés par le mystérieux Krikri firent irruption dans la ferme paternelle juste après avoir délesté un train de son pactole de 2,8 milliards de centimes et dont plus personne en devait en entendre parler. Il n’a pas oublié de même les bancs de l’école avec Mlle Dutreuil, la jeune institutrice de Saint-Jean d’Ataux nouvellement nommée, les travaux des champs, de la vigne, les coupes de bois l’hiver dans les taillis de la Siboutie, son premier vélo acheté de ses propres deniers, ses sorties d’entraînement que son père n’appréciait que modérément, sa première licence à Mussidan, ses premières courses dans les villages des environs et ses premières victoires dont celle de Chantérac. Une épreuve où il se présenta sur la ligne de départ chaussé d’espadrilles et terriblement impressionné par un bataillon de musclés aux jambes finement rasées et luisantes d’huile qui se révélèrent totalement impuissantes à rester dans sa roue.

 LA FÊTE ET LES COURSES DE CLOCHER

 - Des courses qui empruntaient parfois des routes de gravier à peine dignes de nos pistes forestières de maintenant et qui se déroulaient durant les fêtes des villages. Car un village ne pouvait ne pas avoir sa fête et une fête sans course, cela n’aurait eu guère de sens à cette époque, un peu comme si on avait oublié de prévoir un manège ou de dresser un bal. Des épreuves d’une grande intensité où la population des alentours venait communier en masse, dans une ferveur unanime, autour des gars du pays se mesurant aux meilleures pointures régionales. C’était le temps des retrouvailles dominicales, celle de la grande famille cycliste convergeant de tous les points de la région, parée de maillots bariolés affichant ostentatoirement les couleurs des clubs portées par des jeunes pleins d’appréhension pour leurs premiers engagements, des vieux briscards la jouant détachée, des favoris à la mine concentrée, des copains s’échauffant en groupe et disséminées tout au long du circuit, aux points stratégiques de préférence, des grappes de spectateurs et, près de la banderole, des pères anciens coureurs pour la plupart, briefant une dernière fois le fiston avant le départ, des épouses qui n’étaient pas les dernières à donner de la voix, des mères de famille fermant les yeux au moment le plus périlleux, celui du sprint final où il faut savoir jouer des coudes à 60 à l’heure au ras des balustrades, et des sœurs qui n’avaient d’yeux que pour le copain du frère. Des après-midi de jubilation et d’excitation derrière les barrières où s’agglutinaient au plus près de l’arrivée les dirigeants, les proches, les initiés et les mordus, avec chaque passage procurant son lot de sensations, d’espoirs ou de désappointement et faisant monter la fébrilité, autant dans le public que dans le peloton, lequel surgissait parfois serré en masse, parfois étiré en file indienne à la poursuite des échappés, tandis que les malchanceux à l’arrière s’épuisaient à revenir et que les derniers lâchés abandonnaient, les uns trahis par la mécanique, les autres asphyxiés par la chaleur ou parfois victimes de leurs jambes trop molles ce jour-là ou d’une mauvaise chute. C’était la belle époque du vélo, celle du "cyclisme de clocher" où l’exode rural n’avait pas encore saigné les campagnes et où les gars des comités des fêtes retroussaient les manches et enfilaient le cuissard.
- "Calme, souriant, sympathique, bon camarade, coureur intègre et consciencieux, bon grimpeur, excellent rouleur, bien stylé dans l’effort", la presse régionale, dont l’Echo du Ribéracois, l’hebdomadaire toujours en verve des vallées de l’Isle et de la Dronne, ne tarit pas d’éloges au sujet de ce Chaminaud qui en étonne plus d’un par son talent et sa modestie. A l’issue de quelques années au Racing-Club Mussidanais, le club de ses débuts et un passage au Cyclo-Club Montponnais, il rejoint au CA Ribérac son copain Michel Brun qui fait jeu égal avec les professionnels et collectionne les podiums dans les roues d’un Jacques Vivier, comme dans le Tour du Cantal en 1951, ou d’un Jean Robic, comme dans le Bol d’Or des Monédières en 1953, l’année où il aligne deux victoires d’étapes sur la Route de France. Un duo est né, surnommé par le milieu "la paire gagnante", une complicité dans l’effort qui vaudra à notre jeune espoir une sélection méritée dans l’équipe du Limousin pour la 4° édition de la Route de France, celle courue en 1954.
NDLR : Cette équipe comprenait Gilbert Empinet (Brive), Eugène Fourgeau (VC Nontron), Yves Gourd (AS Eymet), Lambert (Guéret), René Montagut (VC Nontron), Jean Riou (Tulle) et Raymond Chaminaud (CA Ribérac).

CHAMINAUD Route de France (Yves Gourd)

Une partie de la sélection du Limousin de la Route de France, avec de gauche à droite
Yves Gourd (AS Eymet), Gérard Empinet (UC Brive), Raymond Chaminaud (CA Ribérac),
puis couvert d’une casquette le directeur sportif de l’équipe Rochet.

- Une bien belle épreuve que cette compétition aujourd’hui disparue et organisée à l’époque par le magazine "Route et Piste" dirigé par Jean Leulliot. Elle regroupait cette année-là 112 coureurs répartis en 16 équipes, recrutés dans les rangs des meilleurs amateurs français et étrangers : 1570 kilomètres à parcourir en dix étapes, de Dinard à Agen, avec un crochet à Auch et Montréjeau et une escale à Ribérac.
NDLR : La Route de France était réservée aux meilleurs amateurs français et étrangers de moins de vingt-cinq ans et ils étaient limités par ailleurs à un braquet de 50x15.
- C’était le cinquième jour, lors du contre la montre individuel Angoulême-Ribérac : 57,5 kms à parcourir sur des routes particulièrement vallonnées, avec arrivée sur le stade municipal (notre photo) commentée par le célèbre Georges Briquet sous les feux de la télévision française qui était venue planter ses caméras sur la cendrée. Le lendemain était encore jour de fête, lors de l’étape Ribérac-Nérac, en particulier jusqu’à Mussidan, où tout au long de la bonne vieille nationale 709, les deux enfants du pays, Raymond Chaminaud dossard n° 80 et René Montagut dossard n° 84 déboulaient sur leurs terres, détachés devant le peloton afin de mieux savourer les vivats de la foule et les encouragements de la famille et des amis.
NDLR : Partis d’Angoulême, ce contre la montre passait par Le Boisseau, Dignac, La Rochebeaucourt, Verteillac, Bertric-Burée, La Borie et Ribérac (arrivée sur la cendrée du stade). Raymond Souron (Bretagne) gagnait le chrono à Ribérac en 1h39’07s, 2. Robert Cazala (Guyenne) à 1’16s, 3. Riolfo à 2’34s, 7. Montagut à 4’08s. Au classement général le leader était toujours l’Angevin André Hammeau à l’issue de ce chrono, mais après la traversée des Pyrénées, le vainqueur de cette édition qui se terminait à Agen, n’était autre que la Parisien Nicolas Barone.
- Même s’il ne gagna rien sur cette épreuve, Raymond Chaminaud termina néanmoins meilleur coureur de l’équipe du Limousin et donna rendez-vous à tout son monde pour son sacre de la saison, la semaine suivante. C’était au Grand Prix de La Couronne, haut lieu de la cimenterie française, dans la banlieue d’Angoulême, un dimanche de la   Saint-Jean. Une épreuve qui regroupait les meilleurs régionaux et nombre de professionnels qui avaient fait l’impasse du Championnat de France. Cent cinq participants au départ, une pléiade de gros bras comptant quelques Tours de France à leur actif, comme Diot, Tonello, Sitek, Decaux, Rouer, Barbotin, Coste, Prouzet, Vivier... Rien que du beau monde. Pierre Michel, équipier de Francis Pélissier, y était donné favori par l’envoyé spécial du quotidien l’Equipe, alors que Jacques Vivier tenait la corde chez les observateurs régionaux. Sans oublier quelques belles pointures comme Barès, vainqueur de la Route de France en 1953 et l’inévitable Michel Brun.
NDLR : C’était le 8° Grand Prix de la Saint-Jean ouvert aux professionnels, aspirants, indépendants hors et toutes catégories. Trophée le" Nil" et "Gibbs" (deux vieilles maisons de la ville). L’édition précédente (celle de 1953) avait était gagné par Gino Bisetto (Fumel) devant Sitek (Paris) et Bussemey (Clermont). La dotation s’élevait en 1954 à 218 000 francs de prix et de primes, une raison sur la qualité du plateau présent, malgré le Championnat de France qui se disputait le même jour à Montlhéry et gagné par Jacques Dupont devant Varnajo et Molinéris.
- Un circuit de 42 kilomètres à boucler à quatre reprises sous une canicule d’enfer, une interminable succession de montées et de descentes qui ne tardèrent guère à causer de sérieux ravages dans les troupes usées autant par la chaleur que par les chasses à répétition, lorsqu’à 20 kms de l’arrivée, Raymond Chaminaud, profitant d’une hésitation du peloton, surprit tout son monde par un démarrage meurtrier qui lui procura jusqu’à deux minutes d’avance. Un temps tout juste suffisant, qui ne cessa de fondre au fil des kilomètres, comme le goudron sous ses roues qu’il propulsa en vainqueur, sur la ligne d’arrivée où il termina détaché, sous les acclamations du public et en particulier celle de la jolie Jeanine Brun, la sœur de son copain, venue à vélo depuis Mareuil sur Belle assister à son triomphe.

Marsaneix 1983

Jean-François Chaminaud (19 ans) fils de Raymond sous le maillot de la Pédale Thibérienne

NDLR : Beau passage de cet ouvrage que Rétro Vélo Dordogne aime présenter, car il respire et il incarne le cyclisme tel qu’on le conçoit et qu’on ne vit plus ainsi... Pour la petite histoire Raymond Chaminaud remportait l’épreuve sur cycle Rochet après 175 kms de course parcourus en 4h28’55s, 2. Hervé Prouzet (Agen) à 15 secondes, 3. Michel Tombelaine (Limoges) à 20s, 4. Rouer (Paris), 5. Diot (Paris) etc...
- Pour information Jean-François le fils de Raymond a bien débuté à la Pédale Thibérienne, puis à l’EVCC Bergerac. Je pense qu’il est ensuite parti deux années au Stade d’Auxerre avec Laurent Mazeaud. Puis retour en Charente avec le CC Vervant et l’UCAR. Ensuite il s’est installé comme consultant dans une société sportive, entraînant notamment l’équipe de Vendée U qu’il conduisit au titre de Championne de France par équipe du contre la montre entre 1995 et 1997. Jean-François a gagné des courses de clocher comme celle de Mensignac, Torsac, Saint-Germain des Près en 1982, mais il a de même terminé 2° du championnat d’Aquitaine juniors en gagnant le contre la montre. En 1983 il enchaîne avec le CLM du Prix du Muguet à Saint-Astier, puis Saulgond, Brugéras, Saint-Martial de Valette et Saint-Laurent des Bâtons. En 1985 après son service militaire, il gagne à Lanouaille, Verteillac et Cendrieux. En 1987, grande victoire au Tour du Bas-Rhin, puis en 1989 il remporte l’épreuve de Lalande Fronsac. Son palmarès est certainement encore plus fourni mais pour l’heure Rétro Vélo Dordogne ne donne que celui qu’il possède...

RÉTRO VÉLO DORDOGNE – RAYMOND CHAMINAUD © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

1 juin 2021

2001 - LE CYCLISME, SON ACTUALITE (22° semaine de la saison)

IL Y A 20 ANS EN DORDOGNE ET EN AQUITAINE

3 au 9 juin 2001

2001 Tour gironde

Les Norvégiens conduisent l'échappée qui a fait trembler Canouet dans le final du Tour

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- Après avoir pris le maillot jaune dès le deuxième étape, Gilles Canouet - en médaillon - (CC Marmande) s’adjuge le Tour de Gironde devant Laurent (Super Sport 23) à onze secondes et l’américain Kluck troisième à quatorze secondes. Les étapes ont été gagnées par Delarue (Super Sport 23) à Marcheprime, Canouet à Saint-Caprais près Bordeaux, Laurent (Super Sport 23) à Cenon, Calzati (Super Sport 23) à Libourne et le Norvégien Jogert à Villenave d’Ornon.

2001 Tour des Deux-Sèvres

Gilles Zech (Bressuire) et son équipe dominateur du Tour des Deux-Sèvres

- Outrageuse domination du Bressuire Activités Club lors du Tour des Deux-Sèvres avec un Gilles Zech en jaune, sacré meilleur sprinter et plus combatif. Zech s’est distingué dès le départ en gagnant à Parthenay. Garmendia a pris la suite avec un succès à Lezay, puis David (Pays Olonnes) à Sauzé-Vaussais, Thibaudeau (Pays Olonnes) à Celles sur Belle et Giroult (Avranches) à Niort.
- Véritable démonstration de force des Montalbanais lors de la Ronde du Sidobre avec le succès de Gaël Moreau devant Igor Pavlov (Albi VS) et Sébastien Bordes (Montauban) troisième.

2001 Tour des écureuils 

Les lauréats du Tour des Ecureuils

- Cyril Bastière (VC Langon) triomphe au 13° Tour des Ecureuils après avoir remporté la 1° étape. Le Haut-Pyrénéen Stéphane Giral (VCP Coteaux 65) puis David Marié du VC Montois se sont adjugés les deux autres étapes.

2001 CA La Chapelle-Faucher départ

Départ du Championnat d'Aquitaine séniors à La Chapelle-Faucher

- C’est La Chapelle-Faucher qui a accueilli le championnat d’Aquitaine route qui se solde par une échappée à quatre. De cette échappée Cyril Bastière (VC Langon) remporte le titre devant Vierge (Dax), Costedoat (Oloron) et Mespoulède (Asptt Périgueux) pointé à six secondes.

2001 CA La Chapelle Faucher élite

Podium élites avec Vincent Viezrge, Cyril Bastière et Julien Costedoat de gauche à droite

2001 CA La Chapelle Faucher SR

Podium SR avec Bastien Lescouret (VC Oloron) 2°, Laurent Salère (Fumel) titré,
Clément Cornali (Sainte-Livrade) 3° et les autorités

2001 Championnat du Poitou

Berger en tête file vers le titre suivi par Fernandez

- Bressuire et le Cycle Poitevin ont dominé comme il fallait s’y attendre le championnat route du Poitou couru à Buxerolles. Emmanuel Berger et Fabien Fernandez ont fait toute la course en têtes avant de s’expliquer au sprint favorable à Berger (Bressuire). Fernandez deuxième retrouve sur le podium Montagne (PSF Niort) classé troisième. Le titre des séries régionales est revenu à Florian Gaborit du VCCO La Rochelle.
- Jérôme Bonnace (UC Châteauroux) remporte le critérium de Bergerac devant Cagala (Chartres) et Guerry (Cycle Poitevin).
- Quelques succès régionaux avec Yann Huguet à Pauillac, avec Sanchou (VC Oloron) lors de la course d’attente des Ecureuils, de Laurent Salère (Fumel) à Cursan, de Jean-Marc Marino (Revel SC) au Tour du canton de Bretenoux-Biars, de Prunet (Dax) à La Torte, de Jean-François Morange à Saint-Merd Lapleau, de Dartigeas (Brive) à Saint-Solve, de Gabaston (Stade Montois) à Onesse, de Kaszuba (Montauban) à Bressuire

ÉCHOS DE DORDOGNE

2001 Bussac

Départ de la course de Bussac

- Bussac (SR et SD par Asptt Périgueux) : 1. Daniel Dutertre (VC Arédien), 2. Alain Castets (Pellegrue), 3. Beden (EVCC Bergerac), 4. Vouillat (Saint-Astier), 5. Guérin (Pellegrue), etc…

2001 Saint-Martin le Pin

Départ de la Course à Saint-Martin le Pin

- Saint-Martin le Pin (SR par CCP Nontron) : 1. Carl Naïbo (G.Saint-Martinois), 2. Champeymont (UV Limousine), 3. Decima (GC Bergerac), 4. Sébastien Lamiraud (Ribérac), 5. Julien Courbalay (Saint-Astier), 6. Michel Besse (ACLBP), 7. Lecoanet (Confolens), 8. Prieto (La Couronne), 9. Moreau (Confolens), 10. Pascal Larpe (Angoulême), etc…
- Bergerac (critérium élites par EVCC Bergerac) : 1. Jérôme Bonnace (UC Châteauroux), 2. Cagala (VS Chartres), 3. Bertrand Guerry (Poitiers), 4. Castes (Meaux), 5. Bordes (Montauban), 6. Ambrosini (Blagnac), 7. Peyramaure (Chartres), 8. Guillout (Asptt Périgueux), 9. Faugeroux (Châteauroux), 10. Arnaud Labbe (Poitiers), etc…
- Bergerac (prologue critérium élites par EVCC Bergerac) : 1. François Château (CC Périgueux), 2. Bordin (UV Auch), 3. Pigeon (Pamiers), 4. Lance (Bouscat), 5. Blangeois (Saint-Astier), 6. Lozach (Villeneuve), 7. Andretta (Agen), 8. Bodin (Mussidan), 9. Massou (Tonneins), 10. Gaillard (Belmont), etc…

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - 2001/semaine 22 © BERNARD PECCABIN
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