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RETRO VELO DORDOGNE

18 mai 2020

1970 - LE CYCLISME, SON ACTUALITE (21° SEMAINE DE LA SAISON)

IL Y A 50 ANS EN DORDOGNE ET EN AQUITAINE

18 au 24 mai 1970

 - C’est Alain Bernard (US. Bouscat) qui s’impose à La Rochette devant du beau monde tels Brux (Tarbes), Delort (Andernos), Lalanne (Haut de Gan) et Bileau (Charron) classés dans cet ordre.

Fedrigo et Furlan

Fedrigo vainqueur et Furlan 2° à Bergerac Naillac

- Bergerac recevait le 4° Grand Prix de NaillacMichel Fedrigo a dicté sa loi lors d’un sprint massif. Parti de très loin, le Tonneinquais n’a laissé aucune chance à ses rivaux. Derrière le chef de file du club Lot-et-Garonnais, on trouve Roger Furlan (CC Béarnais) et Jean-Claude Castaing (Girondins de Bordeaux) pour les deux places du podium puis ensuite Villemiane (Bergerac) et Lalanne (Haut de Gan) qui complètent le top cinq de cette épreuve.

Populaire

Sautier devant Mainguenaud au GP du commerce de Périgueux

- Disputé sur deux étapes, le tout nouveau Grand Prix du Commerce et de l’Industrie de Périgueux a vu la domination et le succès de Lucien Sautier. Pourtant dès le matin Jacques Mazeau (CRCL) avait donné le ton en remportant le premier tronçon au nez et à la barbe de Démartin le local et de Joubert des Girondins. L’après-midi, alors que Mazeau se brisait la clavicule, Sautier haussait le ton pour semer ses rivaux, gagner le deuxième tronçon et le général devant Jean-François Mainguenaud (Ruffec) à neuf secondes et Rémi Smet (Lavelanet) à 21 secondes.
- Luis Ocana, l’espagnol de Mont de Marsan vient de signer une belle victoire au Tour des Six Provinces en s’imposant sur Roger Pingeon et Herman Van Springel. Pendant ce temps, la course de la paix touche à sa fin et le français Marcel Duchemin a du se contenter de la deuxième place derrière le Polonais Szurkowski lauréat.
- D’autres succès en cette fin du mois de mai avec Mignonneau (Libourne) à Sainte-Foy, Renoux (Royan) à Thénac, Lauroua (Orthez) à Hossegor, Poutou (Pau VC) à Biarritz, Portillo (US Bouscat) à Saint-Antoine sur l’Isle. Victoire encore de Pétré (Pau VC) à Pardies et de Samy (Saint-Eloy les Mines) à Egletons.
- Couru à Guéret, le 52° Prix de la Trinité a été un peu victime de la concurrence avec les Six Provinces et le Giro. Mais cela n’a pas nuit à l’épreuve avec six coureurs pour le sprint final et la victoire de Riotte qui bat son équipier Hoban, puis Dupuch, Guillaume, Campaner et Daunat prenant la suite du classement.

ÉCHOS DE DORDOGNE

Saint-Marcel du Périgord : 1. Daubisse (CC Périgueux), 2. Casagrande (CC Périgueux), 3. Guy Conan (Périgueux), 4. Balzac (Périgueux), 5. Laboutade (CC Périgueux), 6. Courrèges (Lalinde), etc...
Rossignol (cadets) : 1. Voisin (UV Limousine), 2. Jean-Yves Grégoire (CRCL), 3. Francis Dussault (VC Bergerac), etc...

Saint-Cyr

Taulou à gauche vainqueur à Saint-Cirq du Bugue, à droite Talayssat deuxième

Saint-Cirq du Bugue : 1. Jean Taulou (CC Périgueux), 2. Talayssat (Fumel), etc...
Peyrignac : 1. Francis Dubreuil (CRCL), 2. Farges.

100 Tours

Entourés de MM. Bonnet, Cuménal et Perpignan, Sautier vainqueur
en compagnie du second à droite le Charentais Mainguenaud (Ruffec)

Grand Prix du commerce et de l’Industrie à Périgueux.
1° étape : 1. Jacques Mazeau (CRCL), 2. Roger Démartin (CC Périgueux), 3. Jean-Luc Joubert (Girondins), 4. Jean-Paul Sauvignat (CC Périgueux), 5. Michel Rafin (CA Ribérac)
2° étape et général : 1. Lucien Sautier (CC Périgueux), 2. JF. Mainguenaud (Ruffec), 3. Rémi Smet (Lavelanet), 4. Raymond Villemiane (Bergerac), 5. Claude Hue (CC Périgueux), etc...

Gueybaud

Jean-Pierre Gueybaud récompensé par M. Defix du VC Bergerac

Bergerac Naillac : 1. Michel Fedrigo (Pédale Tonneins), 2. Roger Furlan (CC Béarnais), 3. Jean-Claude Castaing (Girondins), 4. Raymond Villemiane (VC Bergerac), 5. Roland Lalanne (Pau), 6. Jean-Pierre Connac (Saint-Juéry), 7. Francis Peyre (Villeneuve), 8. Alexis Eyquard (US Bouscat), 9. Roger Démartin (CC Périgueux), 10. Patrick Raymond (US Bouscat), etc...Classement des 3 et 4  catégories : 1. Jean-Pierre Gueybaud (VC Bergerac), 2. Michel Lécuyer (Lalinde), 3. Roger Granzotto (Villeneuve), 4. François Boyer Sarlat), 5. Jean-Paul Marchand (Lalinde), etc...

Saint-Mesmin

De gauche à droite Mlle Ginette Mérillou, Sautier, Boussat speaker,
Tocheport (CCP) et Colette Tuillas à Saint-Mesmin

Saint-Mesmin : 1. Lucien Sautier (CC Périgueux), 2. Albert Peter (Saint-Junien), 3. Claude Hue (CC Périgueux), 4. Mournat (Périgueux), 5. Lavergne (Saint-Junien), 6. Buffière (Nontron), 7. Ditlecadet Limoges), 8. Bardoulat (Nontron), 9. Guillout (Limoges), 10. Galy (Lalinde), etc...
Saint-Crépin et Carlucet (par Guidon Sarladais) : 1. Henri Bonnand (Saint-Juéry), 2. Gutkin (Mazamet), 3. Niel, etc...

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - 1970/20° SEMAINE © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

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17 mai 2020

CORNILLE (course disparue)

DE HUOT A LA PÉRIGORD LADIES

70 ANNEES DE CYCLISME

Cornille

Valentin Huot à Cornille en 1949, sans doute le point de départ de sa carrière

- Cornille est une commune enclavée près de la forêt de Lanmary. Il y a eu tout de même quelques épreuves féminines, des championnats dont un d’Académie qui a rassemblé de nombreux partants. A noter que les Piles est un lieu-dit de la commune traversé par la route de Paris qui sert de limite entre Cornille et Antonne. Par commodité, nous avons classé ce lieu-dit dans cette commune de Cornille qui a accueilli le départ en 2019 de la "Périgord Ladies" inscrite au calendrier international UCI. En marge de cet évènement le Tour de la Dordogne a traversé cette commune en 2012.
- Disons pour la petite histoire que Valentin Huot a travaillé au cours de sa jeunesse chez un châtelain de la commune. Et en 1949 il avait pris le départ d’une course de non licenciés qu’il avait remportée.

2019 Cornille

Présentation avant le départ de la Périgord Ladies à Cornille

Cornille

Départ devant le restaurant "Chez Léa" au bourg de Cornille © Face Book S. Tillet

 Palmarès connu : 1954 Christian Chastaing (Pédale Faidherbe), 1955 Henri Bogdan (Pédale Faidherbe), 1979 Michel Lescure (EC Foyenne), 1980 Jean-Philippe Fouchier (UC Niort), 1982 Nathalie Bellanger (AJ. Montmoreau), 1983 Nathalie Bellanger (AJ. Montmoreau), 1985 Franck Cailleau (CC Marmande).
Championnats d’Académie en 1991 : Florence Marrens (Lycée de Marmande) cadettes, Elisabeth Chevanne-Brunel (Lycée Bertran de Born Périgueux) juniors/séniors dames, Florent Béchade (Lycée Château Gaillard Libourne) minimes, Gérald Darragnès (Lycée Faure à Lormont) cadets, Eric Pascal (Lycée Ravel Saint-Jean de Luz) juniors, Jean-Yves Mançais (Lycée Xavier Louis Talence) séniors.
1991 Claude Denis (Asptt Périgueux) championnat d’Aquitaine vétérans aux Piles, Julien Fiacre (Asptt Périgueux) championnat d’Aquitaine cadets aux Piles, Olivier Maysonnave (CC Béarnais) championnat d’Aquitaine minimes aux Piles, 1992 Jérôme Paul (Championnat de Dordogne juniors aux Piles). 2019 La Périgord Ladies (de Cornille à Boulazac) Coralie Demay (FDJ Futuroscope), 2020 La Périgord Ladies (de Cornille à Boulazac) Sheyla Guitierez Ruiz (Movistar).

RETRO VELO DORDOGNE - CORNILLE - © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

17 mai 2020

LIGUEUX (course disparue)

- Ligueux, petit village de plus de 200 habitants a reçu quelques manifestations FSGT notamment. Gilles Laval frère de Michel et d’Alain s’est imposé sous le maillot de l’EC Foyenne en FFC. Le Tour de Dordogne a traversé la commune en 1997. Le Tour de France aussi en 1994, ce qui constitue un fait curieux pour une commune enclavée. C’était l’époque où le parcours de la grande boucle effectuait un crochet au Nord de la forêt de Lanmary pour rejoindre Le Change et faire étape à Trélissac.

 

LAVAL Alain, Gilles et Michel

La tribu des Laval (Alain, Gilles et Michel) ici sous les couleurs de l'UC Villeneuve
 mais c'est Gilles au centre qui sera lauréat à Ligueux sous le maillot de l'EC Foyenne

Palmarès connu  : 1980 Gilles Laval (EC Foyenne)

RETRO VELO DORDOGNE - LIGUEUX - © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

15 mai 2020

BORDEAUX-ARCACHON (Histoire d’une classique) - 5° partie

LA CLASSIQUE BORDEAUX-ARCACHON
la plus ancienne, la plus courte et la plus rapide du Sud Ouest
Retour sur l’histoire de cette épreuve

- Relire la publication précédente (cliquez sur ce lien).
- Attention Bordeaux-Arcachon et son histoire comportera dix-neuf publications. Pour revenir à la première publication, cliquez ici.

NORBERT BOUGON, DERNIER CRABE RESCAPÉ DE LA CLASSIQUE

- De cette grande et longue épopée, Norbert Bougon a été longtemps le dernier survivant apte à raconter le Bordeaux-Arcachon. (NDLR : puisque décédé en 2017). Né le 28 mars 1920, il a conservé malgré son grand âge tous les souvenirs. Ceux de sa famille appartenant au monde du vélo, comme les siens où il a triomphé en 1938 sur le boulevard Deganne, puis en 1965 dans la catégorie des vétérans. Pour Norbert Bougon le cyclisme c’est toute sa vie, toute sa passion, presque sa raison de vivre. Sur un de ses livres intitulé "Mes débuts - Histoire d’un coureur cycliste d’avant guerre" il raconte avec beaucoup de cœur et de précision tous ses souvenirs. Ceux de son père Gaston, qui a vu un certain jour de 1892 l’arrivée triomphante de Duanip dans les rues de la ville. La presse en avait fait un évènement mémorable. Un an après Bordeaux-Paris, cette classique régionale se devait de réussir, car si Arcachon était une ville bourgeoise, elle aspirait à devenir une ville sportive de grande notoriété, d’où l’importance de cette épreuve qui en était à ses balbutiements. Gaston Bougon (le père) a d’ailleurs gagné lui aussi Bordeaux-Arcachon chez les vétérans en 1919, puis en 1920. Son oncle André a été une fine pédale avec la victoire dans l’épreuve reine en 1909. Il a laissé malheureusement sa vie lors du premier conflit mondial et c’est toute une génération de coureurs qui en ont supporté les conséquences. Norbert Bougon lui aussi est un enfant qui a été arrêté à la fleur de l’âge. Agé de 20 ans en 1940, il a perdu ainsi ses plus belles années dans l’atrocité et la barbarie d’un conflit. Et pourtant, il faut lire ses performances acquises de 1936 à 1939. Son histoire sportive, associative et même sociale est vraiment passionnante à parcourir. Elle constitue le rappel vivant de la vie des coureurs Arcachonnais, riche en souvenirs, en émotions et mêmes en leçons, pour tous ceux qui ont vécu cette période. La chronologie des évènements locaux ou locaux-régionaux au sein des évènements nationaux forme un ensemble harmonieux qui nous fait revivre les grandes heures du cyclisme du Bassin, ce cyclisme qui a tant fait vibrer de joie tous nos parents. Dans un authentique travail d’historien qui raconte son histoire, Norbert Bougon a recherché le détail, l’exactitude et la véracité de témoignages judicieusement harmonisés et synchronisés dans un style alerte et plaisant. On apprend que son grand-père Angel a été en 1910 Président du Club Cycliste Arcachonnais. On y découvre la puissante personnalité de Hubert Longau qui de la misère a accédé par son talent, son travail, sa personnalité à tous les étages de la grande société. On évoque surtout les exploits de la célèbre triplette Arcachonnaise composée de Norbert Bougon, Robert Dutein et de Robert Lafon. Sont écrits l’histoire de l’UCA, la construction de la piste, les courses au vélodrome, le passage du Tour de France, la place des professionnels dans le club, soit les plus belles pages du cyclisme de cette période de l’entre deux guerres. Norbert Bougon rencontre même et se voit remettre en 1937 une médaille par Maurice Martin, le célèbre personnage et poète qui a donné le nom de Côte d’Argent au littoral de sa région et qui a tant œuvré au sein de l’UVF. Mais pour mieux cerner les qualités de Norbert Bougon, de cet homme qui avait le virus du vélo collé dans sa peau, j’ai volontairement repris pour le prochain épisode, l’intégralité de sa course, celle du Bordeaux-Arcachon de 1938 qu’il a remporté. Elle seule nous donne l’impact, la puissance et la notoriété que pouvait avoir cette épreuve pour les puristes du cyclisme, pour ceux qui ne trichent pas, car pour gagner sur le Boulevard Deganne, on ne peut pas tricher… Il est vrai que Norbert Bougon a vécu de bons moments dans sa jeunesse, dans l’insouciance et sous la protection de sa famille totalement dévouée pour le cyclisme. Gamin, il affectionnait s’asseoir seul au milieu de la pelouse du vélodrome qui recouvrait l’intérieur de l’anneau rose de la piste. Il aimait s’isoler pour jouir du spectacle de la nature environnante, voir les grands pins qui balançaient leur cime dans le ciel, ces arbres sauvés par l’architecte qui avait construit ce vélodrome (de la Côte d’Argent) et dont le vert contrastait avec la couleur de l’herbe tendre. "Boubiche" pour les intimes, se souvient aussi de l’odeur des mimosas plantés dans les jardins des villas avoisinantes, ces mimosas qui au rythme des saisons allaient être ensuite remplacés par les genêts en fleurs… On le voit, il aimait plus que tout ce vélodrome, qui lui a permis de devenir un coureur, d’aimer cette nature, ce milieu, cette vie sportive, ce vélo dont il rêve toujours et qui est resté le maillon fort durant toute sa vie...

Bougon 2

Norbert Bougon un des derniers crabes de l'Union Cycliste

QUELQUES RAPPELS SOMMAIRES SUR L’ÉPREUVE

- Quelques détails que l’on peut rappeler avec départ à cette époque, sous les érables du restaurant Larue à l’Alouette-Pessac et arrivée sur l’avenue Deganne(5), face à l’asile hospitalier, lieux immuables de cette épreuve. En 1946, l’Union Cycliste Arcachonnaise présidée par Hubert Longau, ouvrit l’épreuve aux coureurs de toutes régions et de tous pays, aspirants et professionnels exclus. De la Libération et jusqu’en 1956, l’épreuve se déroulera le 15 août pour passer ensuite au 3° dimanche de septembre, tout cela à cause des problèmes liés à la circulation routière.
Le parcours : Pessac-Alouette - Gazinet - Toctoucau - Pierroton - Croix d’Hins - Marcheprime - Les Argentières - Facture - Le Teich - Gujan - La Hume - La Teste - Arcachon. Et s’il y a eu départ à Marcheprime à un certain moment, c’est Norbert Bougon lui-même qui a renoué les liens avec Pessac pour que l’épreuve continue à perdurer, à une période où il était devenu Président de l’UC Arcachon et ceci malgré une circulation auto devenue intense.
- Après ces quelques informations sommaires, j’ai donc le plaisir de vous faire vivre quelques points forts des éditions d’après guerre de cette classique, où les anciens découvriront j’espère, de nombreux souvenirs au travers des épisodes colorés et des coureurs classés.

ecusson

- L’épreuve se trouve de même mis en avant par un départ au profit des vétérans, une heure avant les seniors, soit un lot de partants au passé remarquable. La course franchissant trois passages à niveau, les horaires se devaient d’être respectés par tous. Mais tout cela s’arrêtera en 2004, date de la dernière édition, la route et sa circulation ayant dévoré le bonheur aux cyclistes, qui durent capituler face aux exigences des autorités publiques vis-à-vis de l’utilisation de la voie publique.
(5) Adalbert Alexandre Iphicles Deganne, chevalier de la Légion d'honneur, ingénieur des Ponts et Chaussées, ancien maire d'Arcachon, né à Vertus le 20 octobre 1817, décédé en Arcachon le 10 octobre 1886. Il avait coopéré en 1841 à la construction du chemin de fer de Versailles et de plusieurs autres, en particulier celui de Bordeaux à La-Teste-de-Buch dont il devint responsable de l'exploitation en 1845.
A cette époque, il se fixa à Arcachon après son mariage en 1844 avec la Testerine Marie-Anne dite Nelly Robert et participa à la naissance de cette station balnéaire. Il avait reçu en dot de sa femme des hectares de forêt sur la future commune d'Arcachon dont la revente en parcelles constructibles lui donna une immense fortune dont il usa généreusement en dotant sa ville d'un château, d'un théâtre, d'un gymnase, de divers autres établissements et d'avenues de 25 m de large, ces dons et investissements donnant de la plus-value aux terrains qu'il vendait. - Adalbert Deganne n'a pas oublié qu'il était né à Vertus (Marne). De son vivant il subvenait aux besoins des sociétés de secours mutuel, de musique, etc.… et les pauvres connaissaient cet homme charitable à qui on ne s'adressait jamais en vain. Par testament il laissa à la ville de Vertus les propriétés et les habitations qu'il détenait plus le cinquième du produit de la vente des terrains qu'il possédait à Arcachon et où étaient élevées de nombreuses et somptueuses villas. Ce legs était fait à la condition que la commune de Vertus consacra la somme nécessaire à la construction et à l'entretien d'un hôpital pour les vieillards qui porterait son nom. Il semble qu'elle ait refusé ce don …

SUITE DU PALMARÈS DE L’ÉPREUVE : 1961 - Serge Poletto (Girondins) les 50 kms en 1h05’30s, Estebanez (SA Bordelais), Debiard (SA Bordelais), 1962 - Yvon Roullin (Royan Océan Club) les 50 kms en 1h05’32s, André Dattas (Valence sur Baïse), Jean-Louis Chabanne (SCA. Libourne), 1963 - Alain Charles (CC Périgourdin) les 50 kms en 1h07’04s, Francis Campaner (Bordeaux VC), Bardy (Girondins de Bordeaux), 1964 - Yvon Roullin (Royan OC) les 50 kms en 1h08’38s, Michel Lannier (Royan OC), Claude N’Haux (Sauveterre), 1965 - Serge Lapébie (SAB) en 1h14’35s, Dupuch (SAB), Badia (Toulouse), 1966 - Alain Favarel (CA Castelsarrasin) en 1h03’20s (nouveau record), Lescarret (SAB), Rousselet, 1967 - Gérard Berthomet (CO La Couronne), Lamarque (US Testerine), Ruffat (UC. Orthez), 1968 - Francis Peyré (Sainte-Livrade) les 50 kms en 1h07’49s, Christian Dolhats (VC. Tarnos), Gérard Vigouroux (Sainte-Livrade), 1969 - Christian Dolhats (VC Tarnos), Francis Peyre (UCD Villeneuve), Pauillac, 1970 - Dominique Durand (US Talence), Panizzon (Stade Montois), Daniel Merle (CO La Couronne), 1971 - Joël Expert (CA Créon), Daniel Merle (CO Couronne), Fancis-Xavier Lopez (CA Créon), 1972 - Serge Perrin (VC Nérac) en 1h14’43s, Villeneuve (UC Gujan Mestras), Monté (AS Facture), 1973 - Jacky Hurou (VC Tarbais) les 57 kms en 1h12’00s, Fernand Lajo (US Talence), Hervé Calas (VC Castelnau), 1974 - Michel Dufour (UA Vic) en 1h15’16s, Garcia (AS Facture), Gomez (US Bouscat), 1975 - Fernand Lajo (US Talence), Pierre Biscay (US Talence), Jacques Dolhats (Aviron Bayonnais) (à suivre)

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - L’Histoire de la Classique BORDEAUX-ARCACHON (5)
© BERNARD PECCABIN
 (à la mémoire d’Hubert Longau, de Gaston Bougon et de tous les crabes de l’UC Arcachon)
Prochaine partie : Norbert Bougon, consacré pour l’éternité (extraits de son livre)

15 mai 2020

1994 : 8° TOUR DE LA DORDOGNE

TD 1994

Photo archive de Denis Leproux vainqueur de cette édition 1994

Ndlr : Coureur au parcours atypique puisqu’il a été professionnel de 1987 à 1988, redescendu amateur de 1989 à 1997 puis à nouveau professionnel en 1998 chez Big Mat Auber.
Ici lien du Tour 1993.

- Un nouvelle édition du 14 au 17 juillet avec des passages dans le Périgord Vert, noir, et blanc. Seul le Bergeracois est laissé de côté pour l’heure.
- Nontron/Thiviers le 14 juillet : Nontron, Saint-Pardoux la Rivière, Milhac de Nontron, Saint-Jean de Côle, Thiviers, Dussac, Lanouaille, Le Pervendoux, Génis, Cherveix-Cubas, Excideuil, Coulaures, Corgnac, Puymanet, Thiviers (quatre boucles autour de Thiviers) soit 135 kms.
- Le Buisson/Belvès le 15 juillet : Le Buisson, Le Bugue, Les Eyzies, Tursac, Le Moustier, Thonac, Montignac, Condat, Terrasson, Chavagnac, Paulin, Salignac, Saint-Genies, Direction Les Eyzies, Saint-Cyprien, Siorac, Fongauffier, Belvès (trois passages) soit 169 kms.
- Coulounieix/Montpon le 16 juillet : Coulounieix, Coursac, Manzac, Villamblard, Béleymas, La Force, Bourg d’Abren, Le Fleix, Saint-Méard de Gurçon, Montpon, Villefranche de Lonchat, Montpon soit 106 kms.
- Montpon/Montpon le 16 juillet : Montpon, Saint-Martin de Gurçon, Jenduffe, Montpon soit 18,5 kms contre la montre.
- Trélissac/Ribérac le 17 juillet : Trélissac, Maraval, Sorges, Ligueux, Saint-Front d’Alemps, Agonac, La Chapelle Faucher, Villars, Quinsac, Saint-Crépin de Richemont, La Gonterie, Saint-Julien de Bourdeilles, Bourdeilles, Saint-Vivien, Grand Brassac, Flayac, Verteillac, Bertric Burée, Ribérac, Faye, Epeluche, Puy de Beaumont, La Borie, Ribérac, Epeluche, Puy de Beaumont, Ribérac, Puy de Beaumont, Epeluche, Ribérac soit 160 kms.
- RESULTATS

Nontron/Thiviers : Denis Leproux (CA Mantes).
Le Buisson/Belvès : Martin Slanik (CA Mantes).
Coulounieix/Montpon : Gwénael Desbordes (Pédale Saint-Florent).
Monton/Montpon (contre la montre) : Denis Leproux (CA Mantes).
Trélissac/Ribérac : Philippe Bordenave (GSC Blagnac).
Général : Denis Leproux (CA Mantes).

RÉTRO VÉLO DORDOGNE – 1994 avec le 8° TOUR DORDOGNE
© BERNARD PECCABIN - Voir l'édition 1995 sur ce LIEN
Réédition d’articles parus sur le blog la Dordogne Cycliste

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15 mai 2020

NÉGRONDES (course disparue)

UN ANCIEN FIEF DE LA FSGT

- Négrondes a connu quelques belles heures de cyclisme, notamment en début de saison. La course du village s’est courue début mars lors de la fête du bourg. C’est pour cette raison qu’on a souvent vu des courses de classement, mais aussi de nombreuses épreuves sous la casaque de la FSGT* où le CC Nontronnais du président Trioux jouait un rôle important. Le Tour de France a traversé la commune en 1952 en utilisant la RN 21. C’était sa première traversée en Dordogne, mais depuis, la grande boucle n’est plus passée à Négrondes.
(*) c'était l'époque où on trouvait les Dutertre, Jacques Martin, Bernagaud, Lafagne, Cusson, Fiacre, Dauriac, Loubiat, Ouzeau, Ranouil, Mazy, Mouret etc...

NEGRONDES

Une course FSGT où on reconnaît Guy Dutertre le lauréat, Michel Lafagne, premier vétéran
 JR Villechanoux le speaker et Bernagaud (2°) de Mussidan

Palmarès connu : 1950 Joël Tay (Pédale Thibérienne) course de classement, 1957 Valentin Huot (CC Périgueux) course de classement, 1958 Didier Lasjaunias (CC Périgueux) course de classement, 1959 Daniel Walryck (CC Périgueux) course de classement, 1960 Eugène Bogdan (CC Périgueux) course de classement, 1977 Arnaudeau (EC Foyenne), 1976 Francis Castaing (CC Marmande), 1973 Alain Ducau (UC Nontron), 1991 William Chatain (Pédale Faidherbe), 1992 Eric Lenfant (CRCL).

VÉLO DORDOGNE - NÉGRONDES - © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

15 mai 2020

SAVIGNAC LES ÉGLISES (course disparue)

SavignacTOUR DE FRANCE, DE DORDOGNE ET DE LA COMMUNAUTÉ DES COMMUNES

- Savignac les Eglises est un chef lieu de canton du Périgord Blanc connu pour ses truffes et son école hôtelière. Le cyclisme n’a connu que quelques épisodes. Le Tour de France a traversé la commune en 1963 puis en 1994. Le Tour de la Dordogne a fait mieux avec ville départ d’une étape en 2005 puis des passages en 1998, 1997, 2004 et 2015. Cette commune a également joué le jeu avec un tour des communautés des communes Causses et rivières en Périgord (arrivée en 2006 et 2007).

Palmarès connu : 1952 Gueguen (Pédale Faidherbe), 1961 Claude Hue (CC Périgourdin) notre photo ci-contre âgé alors de 16 ans, 1967 Jean-Luc Joubert (CC Périgourdin), 1968 Francis Galy (CC Sarlat), 1969 Alain Buffière (Pédale Nontron), 1970 M. Bourdin (EC Foyenne), 2005 Franck Bigaud (CG Orléans) étape Savignac-Ribérac TD, 2006 Bastien Leraud (Jarnac Sports) Coulaures-Savignac en ligne Tour de la communauté, 2007 Rémi Badoc (Pôle espoirs Talence) Cubjac-Savignac en ligne Tour de la communauté.

VÉLO DORDOGNE – SAVIGNAC LES ÉGLISES - © BERNARD PECCABIN
La mémoire du cyclisme en Dordogne

 

13 mai 2020

THENON, SON ANCIEN CANTON, SES COURSES CYCLISTES

PORTAIL DES ÉPREUVES ET PALMARÈS CONNU

Thenon 1990

Protocole final du championnat de Dordogne en 1990 à Thenon

- Vous trouverez ci-dessous, la liste des communes de l’ancien canton de Thenon avec pour chacune d’elles photo (s) et palmarès connu. A noter que sur ce canton, toutes les communes ont mis sur pied une épreuve cycliste à l’exception de celle de La Boissière d’Ans, Bars et Limeyrat.
- Thenon.
- Brouchaud.
- Gabillou.
- Sainte-Orse.
- Azerat.
- Ajat.
- Fossemagne.

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - PORTAIL DES COURSES DU CANTON DE THENON
© BERNARD PECCABIN - La mémoire du cyclisme en Dordogne

13 mai 2020

1992/1993 - VI° et VII° TOUR DE LA DORDOGNE

Le TOUR DORDOGNE 1992

Lien précédent : Le Tour de Dordogne 1991.
- Un Tour amputé puisqu’il a été disputé en une seule étape, mais le 19 juillet et de Coulounieix à Périgueux. Ces deux éléments peuvent paraître banals, mais à vrai dire, ils n’en sont pas du tout. Jusqu’à ce jour, le Tour se déroulait fin août voire début septembre. Deux mois qui ne sont pas favorables pour rassembler les coureurs. Or pour trouver une place en juillet, il fallait faire son trou dans le calendrier national. Et c’est ainsi qu’il a été décidé de sacrifier les étapes, ceci pour faire un Tour en une seule étape mais pour une date qui rassemblerait de nombreux coureurs. Le deuxième élément, a été de faire de Périgueux, capitale du Périgord, une ville arrivée. Voilà pour l’histoire... Mais pour rassembler les coureurs, Serge Sallès et Francis Le Pemp ont ajouté en prélude de ce Tour, une épreuve prologue toutes catégories disputée entre Saint-Front d’Alemps-Eyvirat et Agonac, appelée "Circuit de la Beauronne". Sur ce tracé de 12,5 kms, assez vallonné et à disputer plusieurs fois, c’est le Bergeracois Laurent Mazeaud (Tarbes Cycliste) qui signera la victoire. Derrière et dans l’ordre suivront Godard (Niort), René Taillandier (Hennebont), Chiron (Cahors) et Langlois (Poitiers)
- Il faisait très chaud le lendemain au départ de Coulounieix. Une journée caniculaire où d’un côté il y avait les coureurs de la veille plus d’autres champions, de l’autre, un cortège de voitures destinées à jouer les porteurs d’eau sur ce bitume brulant du Périgord. Le tracé avec un départ fictif de Coulounieix, puis départ réel d’Atur, avec passage par Marsaneix, Lacropte, Cendrieux, Sainte Alvère, Sainte-Foy de Longas, Saint-Laurent des Bâtons, Saint-Michel de Villadeix, Beauregard et Bassac, Saint-Mamet, Béleymas, Saint-Jean d’Eyraud, Laveyssière, Les Lèches, Mussidan, Bourgnac, Saint-Séverin d’Estissac, Neuvic, Saint-Germain du Salembre, Saint-Vincent de Connezac, Saint-Aquilin, Saint-Astier, Manzac, Coursac, Coulounieix, Périgueux (par rue Talleyrand Périgord, boulevard Stalingrad, pont des Barris, rue Saint-Front, allées Tourny, cours Montaigne).

Badin

Pascal Badin (CA Mantes) vainqueur du Tour 1992

- Sur ces routes sinueuses du circuit de la Fraise et du Prix du Muguet (en partie), on a assisté à une belle course. Cent cinq coureurs au départ avec des champions régionaux, des présélectionnés olympiques, des anciens pros mais aussi des étrangers (Tunisie, Pologne, Russie, Angleterre). Sur le circuit un public comblé, bien que ce jour là l’étape télévisée du Tour de France dans l’Alpe d’Huez, aura porté quelques préjudices légitimes. Après plus de 167 kms de course, ce sont cinq coureurs qui se présenteront en tête sur les Champs Elysées de notre ville de Périgueux. Au sprint, victoire de Pascal Badin (Mantes) le plus frais des cinq fuyards. Derrière terminent René Taillandier (Hennebont), Didier Rous (Varennes), Dupouey (Tarbes) et Urbain (Vendée). Beau succès de ce Tour qui dès l’an prochain cherchera à faire sa place sur le calendrier national de juillet mais ceci sur plusieurs journées.

Le TOUR DORDOGNE 1993 

Conan

- En 1993, le Tour revient sur cinq étapes et trouve sa place en juillet dans le calendrier national. Voici d’ailleurs l’itinéraire des différentes étapes :
- Génis/Génis le 15 juillet : Génis, pont de Guimalet, Anlhiac, Excideuil, Saint-Germain des Près, Corgnac, Thiviers, Dussac, Angoisse, Lanouaille, Cherveix-Cubas, Saint-Agnan, Hautefort, Cubas, Sainte-Trie, Boisseuilh, Cubas, Pont de Guimalet, Génis, soit 121 kms.
- Terrasson/Belvès le 16 juillet : Terrasson, Chavagnac, Salignac, Sarlat, Vézac, La Roque Gageac, Cénac, Saint-Cybranet, Daglan, Saint-Pompont, Saint-Laurent la Vallée, Grive, Fontgauffier, Belvès, soit 133 kms.
- Montpon/Ribérac le 17 juillet : Montpon, Villefranche de Lonchat, Minzac, Le Pizou, Ménestérol, Servanches, Saint-Aulaye, Festalemps, Bourg du Bost, Faye, Ribérac, Prunier, Faye, Ribérac, soit 104 kms.
Verteillac/Ribérac le 17 juillet : Verteillac, Lusignac, La Clauzure, Epeluche, Faye, Ribérac soit 22,7 kms contre la montre.
- Mareuil/Trélissac le 18 juillet :
Mareuil, Nontron, Saint-Pardoux la Rivière, Saint-Front la Rivière, Quinsac, Champagnac de Bélair, La Senedie, Mensignac, Gravelle, Razac, Coursac, Coulounieix, Périgueux-Saint-Georges, Le Pouyaud, Trélissac, Maraval, Les Gourdoux , Cornille, Agonac, Le Lyonnet, Borie-Petit, Champcevinel, Le Pouyaud, Trélissac, Maraval, Les Gourdoux, Cornille, Le Pouyaud, Maraval, Trélissac, Maraval, entrée du stade de Trélissac, soit 168 kms.

Peyramaure Pascal 2002

- La lutte entre Pascal Peyramaure (notre photo) et Laurent Roux restera longtemps indécise, même si le Tour s’est joué au cours de la première étape. En effet les derniers ont terminé ce jour là à plus de 54 minutes d’une sélection de favoris qui s’est formée au 59° kilomètre.
Le deuxième jour Frutoso prenait le maillot jaune sur le magnifique circuit de Belvès mais Roux, Berger, Peyramaure et Marié étaient crédités du même temps.
Le 3° jour Rinéro fera le forcing pour se rapprocher des leaders, en vain il sera repris ; Victoire de Jean-Louis Conan devant Virvaleix à Ribérac. L’après-midi Peyramaure prendra 8 secondes dans le chrono et le maillot jaune à Frutoso.
Tout se joua le dernier jour avec une échappée fleuve de dix hommes qui prendront jusqu’à 3’25s au 73° km. Christophe Dupouey était alors maillot jaune. L’équipe de Mantes prit alors les choses en main. Le groupe de tête fut laminé par la succession des difficultés. Laurent Roux passait à l’offensive mais sans pouvoir se débarrasser de Peyramaure et de Virvaleix qui voulait gagner l’étape, tout près de chez lui. En vain, ce sont dix-huit hommes qui se présenteront au stade et c’est Mazeaud qui signera une victoire d’étape.

Les résultats du Tour :

Génis/Génis : Frédéric Berland (Cycle Poitevin).
Terrasson/Belvès : Thierry Ferrer (CA Mantes).
Montpon-Ribérac : Jean-Louis Conan (VC Scaérois) - en médaillon maillot d'Aucy
Verteillac/Ribérac (contre la montre) : Pascal Peyramaure (CA Mantes).
Mareuil/Trélissac : Laurent Mazeaud (Tarbes Cycliste).

120570443[1]

Laurent Mazeau vainqueur d'étape à Trélissac

Classement général : 1. Pascal Peyramaure (CA Mantes) en 13h33’58s, 2. Laurent Roux (Bataillon de Jonville) à 8s, 3. Berger (Tarbes) à 54s, 4 Frutoso (Montauban) à 1’12s, 5. Bloy (Pyrénées Atlantiques) à 2’07s.
- Plus combatif : Didier Virvaleix. Meilleur jeune : Laurent Roux. Meilleur aquitain : Christophe Bloy (Pyrénées-Atlantiques)

RÉTRO VÉLO DORDOGNE – 1992-93 avec le 6° et 7° TOUR DORDOGNE
© BERNARD PECCABIN
Réédition d’articles parus sur le blog la Dordogne Cycliste
Le Tour de Dordogne 1994 sur ce lien

12 mai 2020

1991 CIRCUIT DE LA FRAISE EN PÉRIGORD - REPORTAGE

Saint-Mayme de Péreyrol 1991

Le protocole de cette 9° édition avec Didier Lezoray (SC Périgord) deuxième,
Thierry Sonson (VC Sainte-Livrade) premier et Gilles Dano (SC Périgord) troisième.

1991 PLUS QU’UN SEUL JOUR DE COURSE
A SAINT MAYME DE PÉREYROL

- Relire l’article précédent du Circuit de la Fraise : cliquez ici.

9° édition (25 août 1991) : Cette année c’est une période de vache maigre, puisque l’on court que l’après-midi, laissant le matin la part belle aux non licenciés qui en décousent sur le circuit semi herbu, semi goudronné de Saint-Mayme. L’épreuve reine comprend les 2°, 3°, 4° catégories et juniors ceci sur une distance de 100 kms. Thierry Sonson (VC Sainte-Livrade) s’impose devant Didier Lezoray du SC Périgord et Gilles Dano son équipier. Ensuite on trouve Duncan Moralee (VC Bretenoux), Patrice Castrezatti (VC Bruilhois), Stéphane Muet (US Bouscat), Bernard Mazeau (Pédale Faidherbe), Claude Denis (ASPTT Périgueux), Michitoua (CO Carbonne) et Horyckowa de l’ASPTT Paris.

Fraise 1991 bis

Les boys au protocole avec les casquettes Nouvel Hyper

RÉTRO VÉLO DORDOGNE - HISTOIRE DU CIRCUIT DE LA FRAISE
© BERNARD PECCABIN
Prochain épisode : 1992 : Saint-Mayme pour la dernière fois

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